"Te matahuarere no te reva te moana e te fenua" dit vouloir soutenir Teiki Pambrun, qui dénonce des dégradations du récif à Tetiaroa. L'association, qui compte se rendre sur l'île, pense peser lourd : elle dit être en possession de revendications foncières sur l'ensemble des motu de l'île.
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Le V3 a été modifié en pirogue à voile et vient d’être baptisé ce jeudi 12 novembre. Le va'a appartient à l’association de protection de l’environnement "Te matahuarere no te reva te moana e te fenua". Trois à six membres de l’association partiront la semaine prochaine pour rejoindre Tetiaroa et défendre le récif et les 13 motus de l'île.
L’association compte être bien plus efficace que Teiki Pambrun. En effet, cette dernière est en possession de près d’une centaine de revendications foncières, et elle compte bien les faire valoir pour faire entendre sa voix. Selon les protecteurs de l’environnement : ni le récif, ni les motus ne doivent être dégradés davantage. En revanche, la culture et l’histoire de l’atoll doivent être mises en avant. Pour Denis Helme, président d'une association de protection de l'environnement et membre de "Te matahuarere no te reva te moana e te fenua", il est temps de se faire entendre à Tetiaroa.
L’association prévoit également d’intervenir à Fakarava en y envoyant un V6 modifiée là encore en pirogue à voiles.
Retrouvez le reportage complet de nos journalistes au journal télévisé de ce jeudi 12 novembre sur Polynésie 1ère
"Te matahuarere no te reva te moana e te fenua" dit vouloir soutenir Teiki Pambrun, qui dénonce des dégradations du récif à Tetiaroa. L'association, qui compte se rendre sur l'île, pense peser lourd : elle dit être en possession de revendications foncières sur l'ensemble des motu de l'île.
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L’association compte être bien plus efficace que Teiki Pambrun. En effet, cette dernière est en possession de près d’une centaine de revendications foncières, et elle compte bien les faire valoir pour faire entendre sa voix. Selon les protecteurs de l’environnement : ni le récif, ni les motus ne doivent être dégradés davantage. En revanche, la culture et l’histoire de l’atoll doivent être mises en avant. Pour Denis Helme, président d'une association de protection de l'environnement et membre de "Te matahuarere no te reva te moana e te fenua", il est temps de se faire entendre à Tetiaroa.
L’association prévoit également d’intervenir à Fakarava en y envoyant un V6 modifiée là encore en pirogue à voiles.
Retrouvez le reportage complet de nos journalistes au journal télévisé de ce jeudi 12 novembre sur Polynésie 1ère