Soutenir le développement de la Polynésie française par la connaissance, la formation et l’innovation : c’est l’ambition affichée par les chercheurs du fenua, qui se regroupent au sein d’un consortium baptisé RESIPOL (Recherche Enseignement Supérieur Innovation pour la POLynésie).
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Un accord a été signé ce jeudi matin entre les différents organismes de recherche et d’innovation présents en Polynésie française. L’UPF, l’université de Californie-Berkeley, le CNRS, ou encore l’Ifremer, l’institut Louis-Malardé et l’IRD se regroupent au sein du consortium RESIPOL.
« L’enjeu, c’est de mieux coordonner les forces de recherche qui sont en place en Polynésie française », explique Pierre Labrosse délégué international à la recherche et à la technologie, au micro de Heipua Teuira-Van Bastolaer :
Il s'agit aussi de s'ouvrir davantage sur la région et à l’international. Pour cela, une politique commune d’invitation de chercheurs doit être élaborée. Les échanges avec les établissements de la région Pacifique seront privilégiés.
« L’enjeu, c’est de mieux coordonner les forces de recherche qui sont en place en Polynésie française », explique Pierre Labrosse délégué international à la recherche et à la technologie, au micro de Heipua Teuira-Van Bastolaer :
« La recherche est un véritable moteur d’innovation, qu’il convient de développer. »
Il s'agit aussi de s'ouvrir davantage sur la région et à l’international. Pour cela, une politique commune d’invitation de chercheurs doit être élaborée. Les échanges avec les établissements de la région Pacifique seront privilégiés.