Vini se fait taper sur les doigts par l’Autorité polynésienne de la concurrence (APC). C’est à la suite d’une saisine de Vodafone que l’APC a enquêté sur les pratiques commerciales de Vini.
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L’Autorité polynésienne de la concurrence a été saisie par Vodafone (Pacific mobile telecom) pour plusieurs motifs.
Vini faisait payer à ses abonnés des communications plus chères vers le concurrent, et avait une politique de fidélisation jugée abusive – d’une manière ou d’une autre, le consommateur ne pouvait pas changer d’opérateur s’il le souhaitait.
Une chose rectifiée aujourd’hui, assure le président de l’APC, Jacques Mérot. Vini a pris des engagements, précise-t-il.
Vini a trois mois pour mettre en œuvre ses engagements. Cela fera l’objet d’une surveillance pendant dix ans.
Vini faisait payer à ses abonnés des communications plus chères vers le concurrent, et avait une politique de fidélisation jugée abusive – d’une manière ou d’une autre, le consommateur ne pouvait pas changer d’opérateur s’il le souhaitait.
Une chose rectifiée aujourd’hui, assure le président de l’APC, Jacques Mérot. Vini a pris des engagements, précise-t-il.
Interview
Vini a trois mois pour mettre en œuvre ses engagements. Cela fera l’objet d’une surveillance pendant dix ans.
Vini épinglé par l’autorité de la concurrence