Comment l'art peut aider à la guérison ou encore permettre aux malades d'oublier quelques heures leur problème de santé ? C'est tout l'objet d'une convention signée en décembre dernier entre entre la Polynésie française et le Musée du Quai Branly Jacques Chirac.
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Une vingtaine de Polynésiens se sont rendus au musée du Quai Branly. Pour la plupart, c'était leur première fois au musée. "Ca ouvre d'autres champs, c'est vraiment intéressant", confie Alexandra Mao, jeune Polynésienne soignée en Métropole.
Pour Sébastien Scallamera, lui aussi hospitalisé en France, cette visite a été un moment magnifique. "Ca me donne envie de revenir et de revoir et étudier l'histoire de nos ancêtres". Marana Otaha, elle, est ravie de pouvoir être sortie de l'hôpital : "Ca permet de vider la tête surtout avec le stress qu'on a après les opérations". "C'est très important de voir autre chose que les hôpitaux, ça les booste beaucoup", estime Françoise Arai, visiteuse bénévole de patients.
La convention signée entre la Polynésie française et le Quai Branly permettra chaque année à une cinquantaine de patients polynésiens de visiter gratuitement le musée et de s'éloigner du milieu médical. "Pour les malades qui sont loin de chez eux, cela ne peut être que bénéfique", explique Caroline Tang, déléguée de la Polynésie française à Paris.
Pour Sébastien Scallamera, lui aussi hospitalisé en France, cette visite a été un moment magnifique. "Ca me donne envie de revenir et de revoir et étudier l'histoire de nos ancêtres". Marana Otaha, elle, est ravie de pouvoir être sortie de l'hôpital : "Ca permet de vider la tête surtout avec le stress qu'on a après les opérations". "C'est très important de voir autre chose que les hôpitaux, ça les booste beaucoup", estime Françoise Arai, visiteuse bénévole de patients.
La convention signée entre la Polynésie française et le Quai Branly permettra chaque année à une cinquantaine de patients polynésiens de visiter gratuitement le musée et de s'éloigner du milieu médical. "Pour les malades qui sont loin de chez eux, cela ne peut être que bénéfique", explique Caroline Tang, déléguée de la Polynésie française à Paris.