Mardi 18 juin, plusieurs voitures d'artistes de la troupe O Tahiti E ont vandalisés alors qu'ils répétaient pour le Heiva. "Pendant que nous, ici, on fait tout pour que notre culture reste vivante, on se fait casser nos voitures ", confie très en colère, Marguerite Lai, la chef de troupe.
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Chaque année, c’est la même rengaine... Les groupes, qui concourrent pour le Heiva, sont victimes de vols et de casses. En plus de trouver un lieu pour répéter, avec de l’éclairage si possible, ils doivent aussi faire face depuis quelques années à la délinquance.
Cette année encore, des voitures ont été vandalisées sur le parking de la salle à Pirae où ont lieu les répétitions du groupe O Tahiti E. Vitres brisées, portes défoncées et effets personnels volés, c’est ce que les danseurs du groupe ont subi, dans la soirée du mardi 18 juin. Des actes qui suscitent la colère de la chef de troupe, Marguerite Lai. "Nous sommes tous fâchés (...) Depuis le mois de mars, nous avons tous les deux jours une voiture de casser mais cette semaine nous avons 7 voitures de casser (...) Il n'y a pas de pardon pour les voleurs ! (...) Pendant que nous, ici, on fait tout pour que notre culture reste vivante, on se fait casser nos voitures ", confie en colère Marguerite Lai, qui a porté plainte à au commissariat.
Cette année encore, des voitures ont été vandalisées sur le parking de la salle à Pirae où ont lieu les répétitions du groupe O Tahiti E. Vitres brisées, portes défoncées et effets personnels volés, c’est ce que les danseurs du groupe ont subi, dans la soirée du mardi 18 juin. Des actes qui suscitent la colère de la chef de troupe, Marguerite Lai. "Nous sommes tous fâchés (...) Depuis le mois de mars, nous avons tous les deux jours une voiture de casser mais cette semaine nous avons 7 voitures de casser (...) Il n'y a pas de pardon pour les voleurs ! (...) Pendant que nous, ici, on fait tout pour que notre culture reste vivante, on se fait casser nos voitures ", confie en colère Marguerite Lai, qui a porté plainte à au commissariat.