Arrivés deuxième l’an dernier, les Tamarii Ravahere décrochent cette fois le 1er prix du concours de tā’iri pa’umotu. Quelque 500 spectateurs ont assisté à la soirée, vendredi 18 mai, à la Maison de la culture.
•
Le groupe Tamariki Taenga avait remporté les deux premières éditions du concours de frappe pa’umotu. Vendredi soir, dans le cadre magique du Paepae a Hiro, à la Maison de la culture, il a été devancé par les Tamarii Ravahere.
Le 3ème prix a été attribué au groupe Na tama a Maruia.
Deux prix spéciaux ont aussi été remis. L’un a été décerné au groupe Teavatika, à la discrétion du jury. Et l’autre, dédié à la jeunesse, a été remporté par le groupe Upa Tagi Reka.
Neuf groupes ont participé au concours, cette année, devant 500 spectateurs venus admirer les virtuoses du tā’iri pa’umotu.
Les origines de cette frappe restent assez mystérieuses. On raconte que ce sont des soldats polynésiens qui ont vu des gitans jouer et ont repris ce style. Mais Antoine Arakino, membre du jury et spécialiste du tā’iri pa’umotu, a aussi entendu dire que cette frappe existait bien avant que les Polynésiens ne partent pour l’Europe. Quoiqu’il en soit, elle s’est transmise dans les familles, seulement à l’oreille.
Cette frappe est plutôt jouée dans la musique kaina, qui est très rythmée et soutenue. C’est la percussion qui est transmise sur le doigté quand on gratte la guitare.
Le 3ème prix a été attribué au groupe Na tama a Maruia.
Deux prix spéciaux ont aussi été remis. L’un a été décerné au groupe Teavatika, à la discrétion du jury. Et l’autre, dédié à la jeunesse, a été remporté par le groupe Upa Tagi Reka.
Neuf groupes ont participé au concours, cette année, devant 500 spectateurs venus admirer les virtuoses du tā’iri pa’umotu.
Les origines de cette frappe restent assez mystérieuses. On raconte que ce sont des soldats polynésiens qui ont vu des gitans jouer et ont repris ce style. Mais Antoine Arakino, membre du jury et spécialiste du tā’iri pa’umotu, a aussi entendu dire que cette frappe existait bien avant que les Polynésiens ne partent pour l’Europe. Quoiqu’il en soit, elle s’est transmise dans les familles, seulement à l’oreille.
Cette frappe est plutôt jouée dans la musique kaina, qui est très rythmée et soutenue. C’est la percussion qui est transmise sur le doigté quand on gratte la guitare.