Le concours international, l’Arnold Classic, s’est déroulé vendredi 17 mars à Melbourne, en Australie. Le tahitien Tauhiro Yip, déjà maître de la discipline en Polynésie, s’est parfaitement illustré sur la scène internationale. Il obtient la médaille d’argent.
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Ils étaient 13 athlètes de la sélection polynésienne a participé à la compétition. Confronté aux grands meilleurs de la discipline, les tahitiens n’ont pas démérité.
Tauhiro Yip accède ainsi à la seconde marche du podium dans la catégorie des moins de 100kgs. Un concours assez difficile, où il a fallu s’adapter. Voici ses impressions après la compétition.
Polynésie 1ère : Comment s’est passé la compétition ? Ressentais-tu de la rivalité entre les candidats ?
TY : Pour ma part, la compétition s’est très bien passée. À l’international, tout se passe très vite, alors il a fallu s’organiser et s’adapter.
Au début, la rivalité était intense avec les autres athlètes. On se regardait pour connaître les points faibles de chacun et on imaginait avec quelle pose on pourrait prendre le dessus. Moi, je restais dans mon coin à observer les autres candidats.
Heureusement, cette rivalité disparaît dès la fin de la remise des prix et tout le monde se félicite.
Polynésie 1ère : Quelles sont tes impressions après être arrivé à la deuxième marche du podium ?
TY : J’ai pu avoir la deuxième place et c’est une vraie victoire pour moi. J’ai fais beaucoup de sacrifices tant sur le plan financier que familial. Comme on dit, si l’on veut vraiment obtenir quelque chose, il y a des concessions à faire !
Monter sur la scène de l’Arnold Classic n’est pas donné à tout le monde. De plus, durant ma préparation, j’ai rencontré des obstacles qui m’ont fait douter. Je ne savais plus si je devais monter sur scène, mais j’ai persévéré et continué ma préparation en me disant que je devais absolument me présenter sur cette scène. Et j’y suis arrivé!
Ces raisons me confortent dans l’idée que cette deuxième place est méritée, et que c’est une grande victoire.
Polynésie 1ère : Que penses-tu de tes concurrents ?
TY : Nous étions tous prêts, la sèche de chacun était juste parfaite. C’était au jury de trancher et de faire leur travail. Nous avions tous nos chances, et nous savions mettre nos qualités en avant. C’était un plateau très impressionnant avec des athlètes venus des quatre coins du monde. J’ai bien aimé les côtoyer. Maintenant ils savent qu'ils peuvent aussi compter sur les Tahitiens.
Polynésie 1ère : Qu’est ce que ça fait de se mesurer à des « balaises » du monde ?
TY : Se mesurer à ces athlètes a été un honneur car ce sont les meilleurs de leur pays. Bien que je sois le plus léger de ma catégorie (catégorie -100kg), je suis arrivé sur la deuxième marche du podium. Cela me rend encore plus fier.
Polynésie 1ère : Que comptes-tu faire après ?
TY : Dès mon arrivée, je vais me reposer et profiter de manger un peu, mais surtout, je compte m’occuper de ma petite famille car ma femme et moi attendons la venue de notre petite princesse. J’aimerais la remercier de m’avoir soutenu durant ma préparation à l’étranger qui a duré près de trois mois.
Comme on dit, derrière la réussite d’un homme se trouve toujours une femme qui le soutient.
Je tiens à remercier Roberto gym pour son soutien, le grand monsieur Benoît Brodeur du Canada, Igor Leontieff, Air Tahiti Nui, mon préparateur Mr Thierry Aussenac, Oscar Dexter et sa femme pour leur soutien et leur hospitalité, Mr Philippe Girard président IFBB de la Nouvelle-Calédonie, le shop BIG SUPPS TAHITI, ma famille, ainsi que tous ceux qui me soutiennent de près ou de loin, un grand merci.
Tauhiro Yip accède ainsi à la seconde marche du podium dans la catégorie des moins de 100kgs. Un concours assez difficile, où il a fallu s’adapter. Voici ses impressions après la compétition.
Polynésie 1ère : Comment s’est passé la compétition ? Ressentais-tu de la rivalité entre les candidats ?
TY : Pour ma part, la compétition s’est très bien passée. À l’international, tout se passe très vite, alors il a fallu s’organiser et s’adapter.
Au début, la rivalité était intense avec les autres athlètes. On se regardait pour connaître les points faibles de chacun et on imaginait avec quelle pose on pourrait prendre le dessus. Moi, je restais dans mon coin à observer les autres candidats.
Heureusement, cette rivalité disparaît dès la fin de la remise des prix et tout le monde se félicite.
Polynésie 1ère : Quelles sont tes impressions après être arrivé à la deuxième marche du podium ?
TY : J’ai pu avoir la deuxième place et c’est une vraie victoire pour moi. J’ai fais beaucoup de sacrifices tant sur le plan financier que familial. Comme on dit, si l’on veut vraiment obtenir quelque chose, il y a des concessions à faire !
Monter sur la scène de l’Arnold Classic n’est pas donné à tout le monde. De plus, durant ma préparation, j’ai rencontré des obstacles qui m’ont fait douter. Je ne savais plus si je devais monter sur scène, mais j’ai persévéré et continué ma préparation en me disant que je devais absolument me présenter sur cette scène. Et j’y suis arrivé!
Ces raisons me confortent dans l’idée que cette deuxième place est méritée, et que c’est une grande victoire.
Polynésie 1ère : Que penses-tu de tes concurrents ?
TY : Nous étions tous prêts, la sèche de chacun était juste parfaite. C’était au jury de trancher et de faire leur travail. Nous avions tous nos chances, et nous savions mettre nos qualités en avant. C’était un plateau très impressionnant avec des athlètes venus des quatre coins du monde. J’ai bien aimé les côtoyer. Maintenant ils savent qu'ils peuvent aussi compter sur les Tahitiens.
Polynésie 1ère : Qu’est ce que ça fait de se mesurer à des « balaises » du monde ?
TY : Se mesurer à ces athlètes a été un honneur car ce sont les meilleurs de leur pays. Bien que je sois le plus léger de ma catégorie (catégorie -100kg), je suis arrivé sur la deuxième marche du podium. Cela me rend encore plus fier.
Polynésie 1ère : Que comptes-tu faire après ?
TY : Dès mon arrivée, je vais me reposer et profiter de manger un peu, mais surtout, je compte m’occuper de ma petite famille car ma femme et moi attendons la venue de notre petite princesse. J’aimerais la remercier de m’avoir soutenu durant ma préparation à l’étranger qui a duré près de trois mois.
Comme on dit, derrière la réussite d’un homme se trouve toujours une femme qui le soutient.
Je tiens à remercier Roberto gym pour son soutien, le grand monsieur Benoît Brodeur du Canada, Igor Leontieff, Air Tahiti Nui, mon préparateur Mr Thierry Aussenac, Oscar Dexter et sa femme pour leur soutien et leur hospitalité, Mr Philippe Girard président IFBB de la Nouvelle-Calédonie, le shop BIG SUPPS TAHITI, ma famille, ainsi que tous ceux qui me soutiennent de près ou de loin, un grand merci.