Saisie de 267 g d'Ice par les douaniers de Faa’a et de Papeete sur 3 passagères en provenance de Los Angeles
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Le 27 janvier dernier vers 23h, les brigades des douanes de l’aéroport de Faa’a et de Papeete effectuent un contrôle renforcé sur un vol en provenance de Los Angeles. Le comportement de 3 passagères les intrigue plus particulièrement et surtout leur grande nervosité avant le passage de la douane.
Les douaniers décident de procéder au contrôle de leurs bagages qui ne donne rien. Devant le stress persistant des personnes et suite aux questions posées par les agents des douanes, une des passagères, craignant pour sa santé, finit par avouer qu’elle transporte de la drogue in corpore. Les 2 autres personnes, qui l’accompagnent, font de même rapidement, pour les mêmes raisons. Elles sont immédiatement transportées à l’hôpital du Taaoné et placées en retenue douanière. Le procureur de la république en est immédiatement informé.
Les radios effectuées par le personnel hospitalier confirmerons la présence de corps étrangers dans l’organisme des 3 femmes. Au bout de 3 heures, 1 boudin d’environ 10 cm est récupéré sur chacune d’entre elles. Chaque boudin contient entre 80 g et 96 g de Méthamphétamine communément appelée Ice. Soit une saisie totale de 267 g d’Ice d’une valeur estimée à 26,7 M XPF. Au cours des visites domiciliaires qui ont suivi 19 gr de paka ont été trouvées dans les maisons de 2 des personnes interpellées.
Le body packing ou transport in corpore est un mode de transport très utilisé par les trafiquants de drogue à travers le monde. Il permet la dissimulation des substances illicites dans l’estomac des personnes chargées du transport ou dans des cavités naturelles de leur corps (vagin ou rectum). Ce mode de transport est très dangereux, car il y a un risque de rupture des boudins dans lesquels sont habituellement emballés la drogue avec une mort quasi immédiate pour le passeur.
Il s’agit de la 2ème saisie du genre par les douanes de Polynésie en un mois après celle des 37 grammes réalisée le 11 janvier dernier.
A l’issue de la retenue douanière, les trois prévenues, originaires de Tahiti, ont été remises à la section de recherches de la gendarmerie de Papeete co-saisie, avec la direction de la sécurité publique, pour les suites de l’enquête.
Les douaniers décident de procéder au contrôle de leurs bagages qui ne donne rien. Devant le stress persistant des personnes et suite aux questions posées par les agents des douanes, une des passagères, craignant pour sa santé, finit par avouer qu’elle transporte de la drogue in corpore. Les 2 autres personnes, qui l’accompagnent, font de même rapidement, pour les mêmes raisons. Elles sont immédiatement transportées à l’hôpital du Taaoné et placées en retenue douanière. Le procureur de la république en est immédiatement informé.
Les radios effectuées par le personnel hospitalier confirmerons la présence de corps étrangers dans l’organisme des 3 femmes. Au bout de 3 heures, 1 boudin d’environ 10 cm est récupéré sur chacune d’entre elles. Chaque boudin contient entre 80 g et 96 g de Méthamphétamine communément appelée Ice. Soit une saisie totale de 267 g d’Ice d’une valeur estimée à 26,7 M XPF. Au cours des visites domiciliaires qui ont suivi 19 gr de paka ont été trouvées dans les maisons de 2 des personnes interpellées.
Le body packing ou transport in corpore est un mode de transport très utilisé par les trafiquants de drogue à travers le monde. Il permet la dissimulation des substances illicites dans l’estomac des personnes chargées du transport ou dans des cavités naturelles de leur corps (vagin ou rectum). Ce mode de transport est très dangereux, car il y a un risque de rupture des boudins dans lesquels sont habituellement emballés la drogue avec une mort quasi immédiate pour le passeur.
Il s’agit de la 2ème saisie du genre par les douanes de Polynésie en un mois après celle des 37 grammes réalisée le 11 janvier dernier.
A l’issue de la retenue douanière, les trois prévenues, originaires de Tahiti, ont été remises à la section de recherches de la gendarmerie de Papeete co-saisie, avec la direction de la sécurité publique, pour les suites de l’enquête.