L'homme accusé d'avoir braqué le bureau de poste de Rikitea (Gambier) en 2012, vient d'être condamné à 5 ans de prison ferme. Le braquage avait profondément marqué les habitants de l'île tranquille de Mangareva. Il y avait dérobé 4 millions de F, sous la menace d'un couteau.
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A la barre ce matin : le braqueur présumé du bureau de poste de Rikitea.
Jean Puputauki, 41 ans, comparaîssait libre aujourd'hui pour vol avec violences, ayant entraîné une ITT (Intervention Temporaire de Travail) de 8 jours et dissimulation volontaire du visage.
Le 12 mars 2012, en tenue de plongée, casque sur la tête, il avait sous la menace d’un couteau, dérobé 4 millions de F au bureau de poste de son village. L'employée de poste, qu'il connaissait depuis l'enfance, reste profondément choquée. A la barre ce matin, elle a demandé, tremblante, a être éloignée de l'accusé.
L'homme a tenté de minimiser son acte en expliquant qu'il n'avait jamais eu l'intention de "faire du mal". Mais la Cour l'a condamné à 5 ans de prison ferme, au-delà des réquisitions de l'avocat général qui avait requis 3 ans, assorti d'un mandat de dépôt. Le braqueur est donc parti directement pour Nuutania.
Il aura fallu plusieurs mois à la brigade de gendarmerie de Rikitea pour que l’affaire soit résolue. Le suspect n°1 avait fini par avouer, trahi par son train de vie dépassant ses moyens.
Jean Puputauki, 41 ans, comparaîssait libre aujourd'hui pour vol avec violences, ayant entraîné une ITT (Intervention Temporaire de Travail) de 8 jours et dissimulation volontaire du visage.
Le 12 mars 2012, en tenue de plongée, casque sur la tête, il avait sous la menace d’un couteau, dérobé 4 millions de F au bureau de poste de son village. L'employée de poste, qu'il connaissait depuis l'enfance, reste profondément choquée. A la barre ce matin, elle a demandé, tremblante, a être éloignée de l'accusé.
L'homme a tenté de minimiser son acte en expliquant qu'il n'avait jamais eu l'intention de "faire du mal". Mais la Cour l'a condamné à 5 ans de prison ferme, au-delà des réquisitions de l'avocat général qui avait requis 3 ans, assorti d'un mandat de dépôt. Le braqueur est donc parti directement pour Nuutania.
Il aura fallu plusieurs mois à la brigade de gendarmerie de Rikitea pour que l’affaire soit résolue. Le suspect n°1 avait fini par avouer, trahi par son train de vie dépassant ses moyens.
Arrestation du braqueur présumé de Rikitea, en mai 2013.