J-10 pour la 9e édition du Sakifo. L’inquiétude liée à la suppression des 150 000 euros de subvention du Conseil régional, provoquée par la venue du rappeur Orelsan, est en passe d’être levée.
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Les organisateurs devaient récolter plus de 155 000 euros, il ne leur en manque plus que 17 000 pour boucler le budget du festival.
Jérôme Galabert, directeur de Sakifo Productions, tient à souligner la mobilisation des partenaires du festival. "L’Effet Péi a lancé un t-shirt collector en vente, avec une partie des fonds qui nous ont été reversés. Et ce week-end, deux établissements de l’ouest organisent deux concerts de soutien avec des artistes du label". Le "Monsieur Sakifo" n’oublie pas le soutien des "artistes, associations et de membres de la profession".
Plus de 138 000 euros ont pu être ainsi récoltés : 70 000 euros venant de la société civile, de la profession, de la Sacem et du fond d’aide pour la création artistique. Sakifo Productions a quant à lui amené 19 000 euros de ses fonds propres. Le reste, 50 000 euros, viennent des économies réalisées et de la solidarité des artistes, certains ayant revu leur cachet à la baisse.
Même si toutes ces péripéties tendent vers un happy end, Jérôme Galabert ne souhaite pas revivre pareille "mésaventure" et espère que cela "ne se reproduira plus".
La vérité viendra, selon lui, "de la fréquentation du festival". Avant de conclure : " Plus de 6 000 personnes ont déjà pris leurs billets. J’espère que d’autres viendront apprécier les 60 groupes qui seront programmés sur les scènes cette année".
Jérôme Galabert, directeur de Sakifo Productions, tient à souligner la mobilisation des partenaires du festival. "L’Effet Péi a lancé un t-shirt collector en vente, avec une partie des fonds qui nous ont été reversés. Et ce week-end, deux établissements de l’ouest organisent deux concerts de soutien avec des artistes du label". Le "Monsieur Sakifo" n’oublie pas le soutien des "artistes, associations et de membres de la profession".
Plus de 138 000 euros ont pu être ainsi récoltés : 70 000 euros venant de la société civile, de la profession, de la Sacem et du fond d’aide pour la création artistique. Sakifo Productions a quant à lui amené 19 000 euros de ses fonds propres. Le reste, 50 000 euros, viennent des économies réalisées et de la solidarité des artistes, certains ayant revu leur cachet à la baisse.
Même si toutes ces péripéties tendent vers un happy end, Jérôme Galabert ne souhaite pas revivre pareille "mésaventure" et espère que cela "ne se reproduira plus".
La vérité viendra, selon lui, "de la fréquentation du festival". Avant de conclure : " Plus de 6 000 personnes ont déjà pris leurs billets. J’espère que d’autres viendront apprécier les 60 groupes qui seront programmés sur les scènes cette année".