Trois jeunes caïds originaires de Cambuston et Quartier Francais devront répondre ce jour des violences commises le 4 septembre 2010 à l’encontre de 2 passants. Les victimes avaient reçu des coups de couteau en pleine rue.
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Les braqueurs étaient alors sous "effet". Ils ont agit en prédateurs ce jour là. Ils étaient 3 dont l’un encore mineur au moment des faits. Gaëtan Cervaux, Luc Mariama-Moutin et le mineur ont basculé dans la sauvagerie.
Il décident d’abord de voler une voiture. Une Peugeot 106 avec laquelle ils se rendent à Saint-Denis pour y passer la soirée. Là, sous effet, ils ont besoin d’argent. Ils attaquent un piéton, le tabassent et lui plantent un couteau dans la fesse. Ils parviennent à lui dérober sa veste et 300 euros.
Un peu plus tard vers 3 heures du matin ils repèrent un homme dans la rue Maréchal Leclerc. Ils décident de le suivre pour le raquetter. L’homme qui ne dispose pas de toutes ses facultés mentales n’obtempère pas. Il est agressé à coups de poing et de pied et reçoit 2 coups de couteau en prime.
Après description du véhicule par les victimes, les policiers de la BAC se lancent aux trousses des 3 jeunes. Pour leur échapper, la 106 volée file vers l’Est en prenant la 4 voies à contre-sens. La voiture est abandonnée à la Ravine des chèvres.
L’enquête permet d’interpeller le premier agresseur 2 jours plus tard. Le surlendemain le GIPN parvient à "serrer" le second agresseur au terme d’une course poursuite dans les jardins et les cours du voisinage. Enfin le dernier, le mineur au moment des faits, est appréhendé dans la case de ses parents alors qu’il tente de se cacher sous une pile de linge dans l’armoire.
Le procès se tient sur deux jours. Les majeurs, dont l’un comparait libre après une petite période de détention, risquent jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle. Le mineur devenu majeur risque, lui, moité moins si l ’excuse de son âge au moment des faits est retenue.
Il décident d’abord de voler une voiture. Une Peugeot 106 avec laquelle ils se rendent à Saint-Denis pour y passer la soirée. Là, sous effet, ils ont besoin d’argent. Ils attaquent un piéton, le tabassent et lui plantent un couteau dans la fesse. Ils parviennent à lui dérober sa veste et 300 euros.
Un peu plus tard vers 3 heures du matin ils repèrent un homme dans la rue Maréchal Leclerc. Ils décident de le suivre pour le raquetter. L’homme qui ne dispose pas de toutes ses facultés mentales n’obtempère pas. Il est agressé à coups de poing et de pied et reçoit 2 coups de couteau en prime.
Après description du véhicule par les victimes, les policiers de la BAC se lancent aux trousses des 3 jeunes. Pour leur échapper, la 106 volée file vers l’Est en prenant la 4 voies à contre-sens. La voiture est abandonnée à la Ravine des chèvres.
L’enquête permet d’interpeller le premier agresseur 2 jours plus tard. Le surlendemain le GIPN parvient à "serrer" le second agresseur au terme d’une course poursuite dans les jardins et les cours du voisinage. Enfin le dernier, le mineur au moment des faits, est appréhendé dans la case de ses parents alors qu’il tente de se cacher sous une pile de linge dans l’armoire.
Le procès se tient sur deux jours. Les majeurs, dont l’un comparait libre après une petite période de détention, risquent jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle. Le mineur devenu majeur risque, lui, moité moins si l ’excuse de son âge au moment des faits est retenue.