Après avoir reconnu les faits d'attouchement sur de jeunes élèves de l'école des Badamiers, l'intervenant en informatique a été mis en examen ce jeudi matin et placé en détention provisoire.
Lors de son audition mercredi 29 Mai, par les hommes de la Sûreté départementale, au commissariat Malartic à Saint-Denis, l'homme, âgé de 26 ans a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Pour assouvir ses pulsions, il avoue avoir pratiqué des caresses sur les cuisses, les fesses et les parties intimes de 14 petites filles et d'un garçon, âgées de 7 à 10 ans, durant les cours d'informatique. Pas moins de 15 familles ont porté plainte dans cette affaire d'agressions sexuelles.
Ce jeudi 30 Mai, l'intervenant en informatique a été présenté au juge d'instruction, à Champ-Fleuri, et mis en examen pour agressions sexuelles sur mineurs par personne ayant autorité. Le procureur a demandé également le placement en détention provisoire de l'informaticien. Maître Mihidoire Ali, l'avocat du jeune homme, a sollicité un délai pour préparer sa défense. Ils rencontreront donc lundi 3 juin le juge des libertés qui statuera sur un maintien ou non en détention provisoire.
Selon Mihidoire Ali, son client aurait demandé, il y a plusieurs semaine une assistance médicale afin de lutter contre des pulsions qu'il jugeait lui-même "anormales". L'avocat avance aussi le fait qu'il aurait été embauché par le rectorat pour des actions de maintenance et non pour être intervenant auprès des élèves. Plusieurs ordinateurs, unités centrales et disques durs, ont été saisis au domicile du jeune homme. L'expertise devra déterminer si ces ordinateurs renferment des images ou vidéo à caractère pédo-pornographique.
Ce jeudi 30 Mai, l'intervenant en informatique a été présenté au juge d'instruction, à Champ-Fleuri, et mis en examen pour agressions sexuelles sur mineurs par personne ayant autorité. Le procureur a demandé également le placement en détention provisoire de l'informaticien. Maître Mihidoire Ali, l'avocat du jeune homme, a sollicité un délai pour préparer sa défense. Ils rencontreront donc lundi 3 juin le juge des libertés qui statuera sur un maintien ou non en détention provisoire.
Selon Mihidoire Ali, son client aurait demandé, il y a plusieurs semaine une assistance médicale afin de lutter contre des pulsions qu'il jugeait lui-même "anormales". L'avocat avance aussi le fait qu'il aurait été embauché par le rectorat pour des actions de maintenance et non pour être intervenant auprès des élèves. Plusieurs ordinateurs, unités centrales et disques durs, ont été saisis au domicile du jeune homme. L'expertise devra déterminer si ces ordinateurs renferment des images ou vidéo à caractère pédo-pornographique.