Le corps de l'homme découvert, lundi 3 Juin, dans un immeuble désaffecté à Saint-Denis n'a toujours pas été identifié. L'autopsie a cependant confirmé la thèse criminelle.
Au cours de l'autopsie, le médecin légiste a relevé des traces de coups sur le visage de la victime. Les analyses approfondies devraient permettre de savoir si ces violences sont bien à l'origine de la mort du gramoune. Mais désormais pour les enquêteurs, la thèse criminelle ne fait aucun doute.
Le corps de cet homme n'a toujours pas été identifié. Selon les enquêteurs, ils s'agirait d'un sans domicile fixe dont l'âge est estimé entre 70 et 80 ans. Dès lundi, jour de la découverte macabre, dans un bâtiment désaffecté du front de mer, boulevard Lancastel à Saint-Denis, la brigade criminelle de Malartic avait été saisie. La thèse de l'homicide n'est donc pas une surprise pour les enquêteurs. En Août 2012 déjà, le corps d'un sans domicile fixe battu à mort, Albert Sibalo, avait été retrouvé au même endroit.
Dans cette deuxième affaire du Boulevard Lancastel, aucun suspect n'a pour le moment été identifié.
Le corps de cet homme n'a toujours pas été identifié. Selon les enquêteurs, ils s'agirait d'un sans domicile fixe dont l'âge est estimé entre 70 et 80 ans. Dès lundi, jour de la découverte macabre, dans un bâtiment désaffecté du front de mer, boulevard Lancastel à Saint-Denis, la brigade criminelle de Malartic avait été saisie. La thèse de l'homicide n'est donc pas une surprise pour les enquêteurs. En Août 2012 déjà, le corps d'un sans domicile fixe battu à mort, Albert Sibalo, avait été retrouvé au même endroit.
Dans cette deuxième affaire du Boulevard Lancastel, aucun suspect n'a pour le moment été identifié.
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