Au lendemain de l'attaque de requin à l'Etang-Salé. Tanguy, le baigneur de 24 ans, est toujours dans un état critique. Les activités nautiques sont interdites.
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Au lendemain de l'attaque de requin à l'Etang-Salé, le pronostic vital de Tanguy est toujours engagé. Le jeune homme a été hospitalisé hier, samedi 26 octobre, dans un état critique après avoir été victime d'un squale. Alors qu'il se baignait, vers 16h30, à environ 20 mètres du bord de mer, le jeune homme de 24 ans a eu la jambe droite sectionnée par un requin. Selon les témoins, et les proches de la victime, Tanguy se baignait en se laissant porter par les vagues lorsque le squale l'a attaqué.
Ses amis venaient de quitter l'eau après avoir constaté un changement de luminosité en cette fin d'après-midi et une relative turbidité de l'eau. La mer était houleuse et le drapeau orange avait été hissé pour la zone de baignade protégée des requins par la barrière de corail. Ailleurs, les conditions de baignade en pleine mer n'étaient pas optimales et aux risques et périls des nageurs.
Au lendemain de l'attaque, la baignade, comme toutes les autres activités nautiques, sont désormais totalement interdites sur cette plage de l'Etang-Salé et les quelques personnes qui s'y promènent font, sans exception, part de leur émotion. Devant le CHU de Saint-Pierre, une vingtaine de membres de l'association "Protégez nos enfants" ont manifesté ce dimanche matin. Ils souhaitaient apporté ainsi un soutien à Tanguy et à sa famille et ont réclamé, une fois encore, des "mesures efficaces de la part des autorités".
Au large de cette plage, plusieurs pêcheurs ont tenté, en vain, durant toute la matinée de capturé le squale à l'origine de l'attaque. Hier, en effet, la préfecture de La Réunion avait déclenché le dispositif"post-attaque". Cela permet au Comité de pêche de réquisitionner les bateaux de pêche professionnelle du secteur. C'est la troisième attaque de requin depuis le début de l'année à La Réunion. le 15 juillet dernier, Sarah, jeune adolescente de 15 ans, avait été tuée alors qu'elle se baignait à quelques mètres du bord en baie de Saint-Paul. Deux mois avant, le 8 mai, c'est un surfeur, en voyages de noces à La Réunion, qui était victime d'un squale. Le jeune marié surfait sur le spot des Brisants à Saint-Gilles.
Ses amis venaient de quitter l'eau après avoir constaté un changement de luminosité en cette fin d'après-midi et une relative turbidité de l'eau. La mer était houleuse et le drapeau orange avait été hissé pour la zone de baignade protégée des requins par la barrière de corail. Ailleurs, les conditions de baignade en pleine mer n'étaient pas optimales et aux risques et périls des nageurs.
Au lendemain de l'attaque, la baignade, comme toutes les autres activités nautiques, sont désormais totalement interdites sur cette plage de l'Etang-Salé et les quelques personnes qui s'y promènent font, sans exception, part de leur émotion. Devant le CHU de Saint-Pierre, une vingtaine de membres de l'association "Protégez nos enfants" ont manifesté ce dimanche matin. Ils souhaitaient apporté ainsi un soutien à Tanguy et à sa famille et ont réclamé, une fois encore, des "mesures efficaces de la part des autorités".
Au large de cette plage, plusieurs pêcheurs ont tenté, en vain, durant toute la matinée de capturé le squale à l'origine de l'attaque. Hier, en effet, la préfecture de La Réunion avait déclenché le dispositif"post-attaque". Cela permet au Comité de pêche de réquisitionner les bateaux de pêche professionnelle du secteur. C'est la troisième attaque de requin depuis le début de l'année à La Réunion. le 15 juillet dernier, Sarah, jeune adolescente de 15 ans, avait été tuée alors qu'elle se baignait à quelques mètres du bord en baie de Saint-Paul. Deux mois avant, le 8 mai, c'est un surfeur, en voyages de noces à La Réunion, qui était victime d'un squale. Le jeune marié surfait sur le spot des Brisants à Saint-Gilles.