Tacloban, une morgue à ciel ouvert après le typhon Haiyan

Les cadavres, placés dans des sacs mortuaires, gisent à même le sol, le long des routes. Les autorités redoutent des épidémies. Les rescapés, blessés ou malades risquent un autre problème, puisque les hôpitaux sont débordés et sont, pour certains, à court de médicaments.
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