Entre 300 et 400 personnes ont répondu à l'invitation du collectif "Rend a nou la mer, rend a nou la Réunion". Dimanche 9 décembre à Saint-Paul, Elles ont voulu dénoncer les contraintes environnementales et l'inaction de l'Etat dans la crise requin.
Devant le débarcadère de Saint-Paul, la manifestation était organisée par un collectif d'associations de simples usagers ou de professionnels de la mer impactés par la crise requin qui frappe La Réunion. Et si certains réclament des mesures susceptibles de protéger leurs emplois, d'autres souhaitent plus simplement retrouver un accès à la mer. Et les responsables sont clairement désignés : des mesures écologistes excessives inadaptées et un Etat qui ne prend pas suffisamment à bras le corps le dossier.
La baignade et les activités nautiques sont, par arrêté préfectoral, interdites jusqu'en février (hors lagon et zones protégées). Pour les quelques 400 personnes qui assistaient au rassemblement hier, dimanche, cela ne règle en rien la crise. Tous préfèrent d'ailleurs utiliser le terme de "crise bouledogue" plutôt que "crise requin" comme pour rappeler le fait que l'espèce n'est pas menacée. Depuis 2011, dans l'ouest, on recense 17 attaques, 5 morts, 4 mutilés.
Reportage de Jean-Marc Seguin...
La baignade et les activités nautiques sont, par arrêté préfectoral, interdites jusqu'en février (hors lagon et zones protégées). Pour les quelques 400 personnes qui assistaient au rassemblement hier, dimanche, cela ne règle en rien la crise. Tous préfèrent d'ailleurs utiliser le terme de "crise bouledogue" plutôt que "crise requin" comme pour rappeler le fait que l'espèce n'est pas menacée. Depuis 2011, dans l'ouest, on recense 17 attaques, 5 morts, 4 mutilés.
Reportage de Jean-Marc Seguin...
Jean-marc Seguin - D. Rosamel