Acia Legras, réunionnaise installée à Bordeaux vient de décrocher le titre de championne du monde de danse orientale. Le prestigieux concours avait lieu le 16 février 2014, à Long-Beach en Californie.
Bon sang ne saurait mentir, l’expression est vieillotte mais s’applique à la nouvelle championne du monde de danse orientale. Acia Legras est originaire de La Réunion, fille d'une danseuse et d'un musicien, magicien.
Elle est le fruit de l’union d’un réunionnais et d’une mère aux origines "Orientales". Le couple a fait partie de la troupe folklorique de La Réunion. C’est d’ailleurs là, entre séga et maloya que la future championne découvre la musique et la danse orientale. C’est encore une enfant et pourtant son avenir est écrit.
Acia veut devenir danseuse orientale. Pour atteindre son but nous explique le journal Sud-Ouest, elle quitte son île direction la métropole. Là, elle suit assidûment les cours de Caroline Chatel. Un travail de fourmis qui va payer. Au fil du temps et des prestations, elle s’impose et son nom circule dans ce monde exigeant. A l’issu d’une représentation à Bordeaux, Rajaa Dussart, grande danseuse orientale, parle d’elle comme d’une future étoile.
Le couronnement d’un long parcours
Tout va s’accélérer en 2012. Acia Legras participe et remporte une compétition internationale au Portugal. Ce premier prix l’incite à s’inscrire au plus prestigieux concours de sa discipline : The belly dancer of the universe (le championnat du monde de danse orientale). Il a eu lieu, le 16 février 2014, à Long-Beach en Californie. Il regroupait 54 concurrentes. Au final, Acia Legras a été couronnée. Une consécration qui la ramène à son enfance à La Réunion. Elle avait 4 ans quand une danseuse orientale de la troupe folklorique lui avait enseigné les premiers pas. Une jeune femme passionnée, malheureusement trop tôt disparue dans un accident de la route.
Acia ne l’a jamais oubliée et c’est un peu pour lui rendre hommage qu’elle a décroché ce premier prix.
La championne n’a pas pris la grosse tête. Elle vient de rentrer à Saint-Jean-d’Illac où elle continue de donner ses cours.
Elle est le fruit de l’union d’un réunionnais et d’une mère aux origines "Orientales". Le couple a fait partie de la troupe folklorique de La Réunion. C’est d’ailleurs là, entre séga et maloya que la future championne découvre la musique et la danse orientale. C’est encore une enfant et pourtant son avenir est écrit.
Acia veut devenir danseuse orientale. Pour atteindre son but nous explique le journal Sud-Ouest, elle quitte son île direction la métropole. Là, elle suit assidûment les cours de Caroline Chatel. Un travail de fourmis qui va payer. Au fil du temps et des prestations, elle s’impose et son nom circule dans ce monde exigeant. A l’issu d’une représentation à Bordeaux, Rajaa Dussart, grande danseuse orientale, parle d’elle comme d’une future étoile.
Le couronnement d’un long parcours
Tout va s’accélérer en 2012. Acia Legras participe et remporte une compétition internationale au Portugal. Ce premier prix l’incite à s’inscrire au plus prestigieux concours de sa discipline : The belly dancer of the universe (le championnat du monde de danse orientale). Il a eu lieu, le 16 février 2014, à Long-Beach en Californie. Il regroupait 54 concurrentes. Au final, Acia Legras a été couronnée. Une consécration qui la ramène à son enfance à La Réunion. Elle avait 4 ans quand une danseuse orientale de la troupe folklorique lui avait enseigné les premiers pas. Une jeune femme passionnée, malheureusement trop tôt disparue dans un accident de la route.
Acia ne l’a jamais oubliée et c’est un peu pour lui rendre hommage qu’elle a décroché ce premier prix.
La championne n’a pas pris la grosse tête. Elle vient de rentrer à Saint-Jean-d’Illac où elle continue de donner ses cours.