A 23 ans, celle qui a toujours donné la priorité à ses études vit enfin son rêve de petite fille : participer au concours de Miss Réunion.
Jeune et jolie comme les douze autres concurrentes, la Saint-Pauloise a une idée bien précise de celle qui doit représenter La Réunion. « Pour moi, être Miss c’est une image. Il n’y a pas que la beauté qui importe. Il faut avoir un minimum dans la tête et surtout avoir du charisme. » Et de citer, pour modèles, celles qui ont marqué les esprits : Valérie Bègue « qui a réussie sa vie », Marie Payet ou encore Virginie Benoîte qu’elle qualifie de « posées et d’intelligentes ». « Pour moi, ce sont des exemples. Elles ont toutes eu un beau parcours. » Des exemples qu’elle souhaite imiter. « Je pense que je suis complète physiquement et mentalement. De plus, on dit de moi que je suis naturelle et que j’ai une aisance à l’oral. Je pense que ce sont des atouts ».
Réussir professionnellement avant tout
Diplômée d’un Master d’ingénieur en agronomie en Janvier dernier, Anne-Gaëlle décroche aussitôt un contrat à la Direction de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt. Mais, elle n’a pas perdu de vue pour autant son rêve de participer au concours de beauté. « Je me suis présentée l’année dernière, mais je n’ai pas été retenue parmi les candidates, sans doute à cause de mon poids. Il faut dire que j’avais pris 20 kg durant mes études en Métropole. » De retour sur l’île, elle s’est prise en main. A l’aube de ses 24 ans c’était son ultime chance de participer au concours. « Aujourd’hui c’est mon père qui me coache. Il m’emmène courir et surveille mon alimentation. Ma mère me coache psychologiquement, elle m’encourage. » Si elle remporte cette élection ses projets s’orienteront vers la protection de l’environnement mais aussi la culture.
Réussir professionnellement avant tout
Diplômée d’un Master d’ingénieur en agronomie en Janvier dernier, Anne-Gaëlle décroche aussitôt un contrat à la Direction de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt. Mais, elle n’a pas perdu de vue pour autant son rêve de participer au concours de beauté. « Je me suis présentée l’année dernière, mais je n’ai pas été retenue parmi les candidates, sans doute à cause de mon poids. Il faut dire que j’avais pris 20 kg durant mes études en Métropole. » De retour sur l’île, elle s’est prise en main. A l’aube de ses 24 ans c’était son ultime chance de participer au concours. « Aujourd’hui c’est mon père qui me coache. Il m’emmène courir et surveille mon alimentation. Ma mère me coache psychologiquement, elle m’encourage. » Si elle remporte cette élection ses projets s’orienteront vers la protection de l’environnement mais aussi la culture.
Journal télévisé de 12H30. Entretien : Pascal Souprayen