Le président de la République, François Hollande, s'est dit jeudi 21 août "révolté" par l'assassinat du journaliste américain James Foley par les djihadistes de l'Etat islamique.
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"Ce journaliste, nous le connaissions, non pas directement, mais par les témoignages qui avaient été rapportés par nos propres otages" en Syrie, a indiqué le chef de l'Etat, affirmant que les autorités françaises étaient ainsi "conscientes qu'il était en grand danger". Le président français a également appelé "le monde" à prendre "conscience du groupe qui est maintenant en Irak et en Syrie", évoquant l'Etat islamique.
"Je partage cette émotion, je partage cette compassion, je partage aussi cette révolte", a déclaré le chef de l'Etat à son arrivée à La Réunion, enchaînant : "tuer, assassiner un journaliste dans les conditions où ça s'est produit, un journaliste qui était retenu depuis déjà deux ans, mettre sur internet la vidéo de ce meurtre, ça signe la barbarie du crime".
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"Je partage cette émotion, je partage cette compassion, je partage aussi cette révolte", a déclaré le chef de l'Etat à son arrivée à La Réunion, enchaînant : "tuer, assassiner un journaliste dans les conditions où ça s'est produit, un journaliste qui était retenu depuis déjà deux ans, mettre sur internet la vidéo de ce meurtre, ça signe la barbarie du crime".