A 26 ans seulement, Johana Lebon est chef de projets dans le tourisme d’affaires à New-York. Portrait d’une globetrotteuse, originaire du Tampon, avec le site Réunionnais du monde.
Elle croque la grosse pomme à pleine dents. A 26 ans, Johana Lebon, titulaire d’un master, s’est installée à New-York où elle est chef de projets dans le tourisme d’affaires. L’école primaire à Saint-Joseph et la suite au Tampon. Elle passe et obtient son bac au lycée Roland-Garros avant de s’envoler vers la métropole. Strasbourg, Lyon et enfin les Etats-Unis : « Amoureuse de ce pays depuis petite, j’ai toujours voulu y vivre un jour, au moins quelque temps. Et je ne regrette pas ! Tout m’a plu : la gentillesse et l’accueil des Américains, l’ambiance des campus, le fonctionnement des cours… ».
La Réunion dans le sang
Pour Johana, New-York est la ville idéale pour débuter sa carrière : « ça bouge beaucoup et ici tout est possible. En revanche, il y a des gros points négatifs qui me dissuadent de rester ici toute ma vie, comme la scolarité payante, le système de santé ou encore le système de retraites. Venant d’un pays de droits sociaux comme la France, je ne me sens pas totalement en « sécurité » ici ».
Malgré les milliers de kilomètres, Johana Lebon n’oublie pas ses origines : « En quittant l’île pour mes études, j’ai apporté une marmite à riz. Mais je me suis vite rendue compte que ça se trouve partout, ouf ! ». Interrogé par Réunionnais du monde sur ce manque, la néo New-Yorkaise que sa famille, la nourriture, le créole, l’ambiance, la musique, les paysages enfin les Réunionnais lui manquent. Cependant, elle ne compte pas revenir demain. Elle espère encore poursuivre sa route, parcourir le monde et apprendre avant, peut-être, de poser ses valises sur l’île.
La Réunion dans le sang
Pour Johana, New-York est la ville idéale pour débuter sa carrière : « ça bouge beaucoup et ici tout est possible. En revanche, il y a des gros points négatifs qui me dissuadent de rester ici toute ma vie, comme la scolarité payante, le système de santé ou encore le système de retraites. Venant d’un pays de droits sociaux comme la France, je ne me sens pas totalement en « sécurité » ici ».
Malgré les milliers de kilomètres, Johana Lebon n’oublie pas ses origines : « En quittant l’île pour mes études, j’ai apporté une marmite à riz. Mais je me suis vite rendue compte que ça se trouve partout, ouf ! ». Interrogé par Réunionnais du monde sur ce manque, la néo New-Yorkaise que sa famille, la nourriture, le créole, l’ambiance, la musique, les paysages enfin les Réunionnais lui manquent. Cependant, elle ne compte pas revenir demain. Elle espère encore poursuivre sa route, parcourir le monde et apprendre avant, peut-être, de poser ses valises sur l’île.