La quinzaine de manifestants installée devant l’unité routière Nord a rencontré Ibrahim Dindar, directeur de cabinet de la présidente du conseil général. Il s’est engagé à étudier chaque CV. En contre partie, la chaussée a été rendue à la circulation.
Les automobilistes du Nord et de l’Ouest, qui passent par le boulevard Lancastel pour se rendre dans l’Est, ont du prendre leur mal en patience. Un barrage filtrant a été installé par une quinzaine de jeunes manifestants du quartier des Deux-Canons au niveau de l’unité territoriale routière Nord, située juste à côté du Palaxa, rue Léopold-Rambaud. Ce mouvement d’humeur serait la conséquence de promesses électorales non tenues, selon eux. Par ailleurs, ils reprochaient aux élus du département de ne pas avoir embauché de jeunes du quartier, alors que des bureaux du conseil général ont été installés là.
La situation est restée tendue jusqu’en milieu de matinée.
L’emploi au cœur des revendications
Les protagonistes voulaient rencontrer un élu du département. Ibrahim Dindar, directeur de cabinet de la présidente du conseil général, est venu discuter avec eux. A son arrivée, l’époux de Nassimah Dindar avait immédiatement signifié au petit groupe qu’il entamerait le dialogue s’ils libéraient la chaussée. Aussitôt demandé, aussitôt fait ! Un répit de courte durée pour les automobilistes. Une demi-heure plus tard, le petit groupe reprenait possession du bitume en justifiant cette nouvelle action par un rejet total des solutions proposées. Ils faisaient savoir à leur interlocuteur qu’ils ne voulaient plus entendre parler de contrats aidés, ou temporaires mais de CDI.
Après une valse hésitation, Ibrahim Dindar proposait aux belligérants de récupérer leurs curriculum vitae et d’apporter des réponses individuelles.
La situation est restée tendue jusqu’en milieu de matinée.
L’emploi au cœur des revendications
Les protagonistes voulaient rencontrer un élu du département. Ibrahim Dindar, directeur de cabinet de la présidente du conseil général, est venu discuter avec eux. A son arrivée, l’époux de Nassimah Dindar avait immédiatement signifié au petit groupe qu’il entamerait le dialogue s’ils libéraient la chaussée. Aussitôt demandé, aussitôt fait ! Un répit de courte durée pour les automobilistes. Une demi-heure plus tard, le petit groupe reprenait possession du bitume en justifiant cette nouvelle action par un rejet total des solutions proposées. Ils faisaient savoir à leur interlocuteur qu’ils ne voulaient plus entendre parler de contrats aidés, ou temporaires mais de CDI.
Après une valse hésitation, Ibrahim Dindar proposait aux belligérants de récupérer leurs curriculum vitae et d’apporter des réponses individuelles.