L’étude des requins et de la ciguatera s’enrichit d’un tigre mâle de 3 mètres. Il a été prélevé, ce mercredi 1er Septembre 2014, grâce à la drumline de la baie de Saint-Paul. Il porte à 32 sur les 75 squales, autorisés à la pêche, pour l’étude Cap Requins.
Le dernier rapport des chercheurs est formel. Grâce aux prélèvements ciblés effectués à La Réunion pour la recherche ciguatérique, les connaissances avancent à grand pas. L’objectif est de sauver les personnes empoisonnées par la ciguatera.
A Madagascar, comme dans d’autres pays de l’hémisphère Sud, les victimes sont souvent des pêcheurs et leurs familles. Très pauvres, ils se partagent les poissons les moins vendus. Ces tragédies (Ndlr : 5 morts en février 2014) passent inaperçues et ne concernent pas les pays développés. L’objectif des scientifiques français est donc double: mieux comprendre les requins pour protéger les côtes réunionnaises, mais aussi, trouver un remède contre cette toxine mortelle.
32 sur 75
75 prélèvements ont été demandés par la commission Cap Requins. Des captures limitées aux bouledogues et aux tigres. Ces deux espèces sont, considérées comme, impliquées dans les attaques mortelles. Elles sont porteuses de la toxine d’où l’arrêté préfectoral de 1999 qui interdit leur pêche.
Désormais, les professionnels de la mer de La Réunion ont de nouveau le droit de capturer ces squales, mais ils ne peuvent pas les vendre. Ce paradoxe compréhensible, compte tenu de la dangerosité de la ciguatéra, oblige les autorités à maintenir le programme Cap Requins.
Mercredi, un tigre mâle de 3 mètres a mordu à l’hameçon de la drumline de la baie de Saint-Paul, ce qui porte à 32 les prélèvements sur les 75prévus.
A Madagascar, comme dans d’autres pays de l’hémisphère Sud, les victimes sont souvent des pêcheurs et leurs familles. Très pauvres, ils se partagent les poissons les moins vendus. Ces tragédies (Ndlr : 5 morts en février 2014) passent inaperçues et ne concernent pas les pays développés. L’objectif des scientifiques français est donc double: mieux comprendre les requins pour protéger les côtes réunionnaises, mais aussi, trouver un remède contre cette toxine mortelle.
32 sur 75
75 prélèvements ont été demandés par la commission Cap Requins. Des captures limitées aux bouledogues et aux tigres. Ces deux espèces sont, considérées comme, impliquées dans les attaques mortelles. Elles sont porteuses de la toxine d’où l’arrêté préfectoral de 1999 qui interdit leur pêche.
Désormais, les professionnels de la mer de La Réunion ont de nouveau le droit de capturer ces squales, mais ils ne peuvent pas les vendre. Ce paradoxe compréhensible, compte tenu de la dangerosité de la ciguatéra, oblige les autorités à maintenir le programme Cap Requins.
Mercredi, un tigre mâle de 3 mètres a mordu à l’hameçon de la drumline de la baie de Saint-Paul, ce qui porte à 32 les prélèvements sur les 75prévus.