Mauvaise surprise pour les responsables de la Chapelle Front-de-Mer de Sainte-Suzanne. Dans la nuit de jeudi à vendredi, les statues des divinités ont été dégradées. Les dégâts se chiffrent déjà à plus de 10 000 Euros.
Vel Mounigan, président du temple du front de mer de Sainte-Suzanne est dépitée : « je suis venu ce matin avec un peintre pour redonner des couleurs au temple avant la cérémonie pour la déesse Karli (Ndlr : le 9 novembre) et j’ai découvert le carnage. Nous sommes arrivés vers 8 heures ce matin ».
Les neuf divinités qui étaient installées autour de l’hôtel sont méconnaissables. A deux mille Euros la statue, les comptes sont vite faits.
Une enquête confiée aux gendarmes
Le président de la Chapelle Front-de-Mer ne baisse par pour autant les bras : « nous honorerons nos engagements. Nous accueillerons les fidèles dès le 9 Novembre, mais aussi pour la marche sur le feu prévue le 18 Décembre 2014 ». Le bureau de l’association ne compte que 20 membres, mais son président sait qu’il peut compter sur la solidarité de la communauté de l’île : « tous les ans, nous recevons des croyants de toute l’île ».
Les gendarmes de Sainte-Suzanne ont été alertés. Une enquête a été ouverte pour démasquer le ou les vandales et comprendre leurs motivations.
En images avec Nadia Tayama et Jacques Payet
Les neuf divinités qui étaient installées autour de l’hôtel sont méconnaissables. A deux mille Euros la statue, les comptes sont vite faits.
Une enquête confiée aux gendarmes
Le président de la Chapelle Front-de-Mer ne baisse par pour autant les bras : « nous honorerons nos engagements. Nous accueillerons les fidèles dès le 9 Novembre, mais aussi pour la marche sur le feu prévue le 18 Décembre 2014 ». Le bureau de l’association ne compte que 20 membres, mais son président sait qu’il peut compter sur la solidarité de la communauté de l’île : « tous les ans, nous recevons des croyants de toute l’île ».
Les gendarmes de Sainte-Suzanne ont été alertés. Une enquête a été ouverte pour démasquer le ou les vandales et comprendre leurs motivations.
En images avec Nadia Tayama et Jacques Payet