2015 débute sur les chapeaux de roues pour Nathalie Legrand. Une série de concerts est organisée pour les 20 ans d’Afatia et après des années de recherche, elle vient de retrouver sa « nénène » (nourrisse).
La loi des séries des heureuses nouvelles existe ! Nathalie Legrand chanteuse d’Afatia peut en témoigner. Alors qu’elle va donner une série de concerts dans les différents quartiers de Saint-Paul, commune de son enfance, elle vient de retrouver sa « nénène » qu’elle recherchait depuis des années.
Samedi soir, au tour des Roches, avec l’association Sakalava Prod, un « kabar » était organisé en l’honneur de René-Louise Fariziala, la nourrisse de la chanteuse d’Afatia. Nathalie Legrand a perdu ses parents. Cette femme est désormais son seul lien avec son enfance Saint-Pauloise.
Des « kabar » dans les « kartié »
Elle avait perdu la trace de « Mon René » quand celle-ci a quitté la ville pour le Moulin-à-Eau. Sans savoir que sa « nénène » vivait-là, Nathalie Legrand venait régulièrement se baigner dans l’eau douce des bassins situés en contrebas de la case de la vieille femme.
C’est donc, tout naturellement que Nathalie Legrand a souhaité débuter, ici, sa série de concerts prévus en 2015 sur la commune de Saint-Paul. Des « kabar » décentralisés qui vont permettre à Afatia de rencontrer des publics éloignés des scènes traditionnelles. Elle explique : « Nous souhaitons jouer là où les groupes ne vont jamais ».
Reportage : Christelle Floricourt et Alix Catherine
Samedi soir, au tour des Roches, avec l’association Sakalava Prod, un « kabar » était organisé en l’honneur de René-Louise Fariziala, la nourrisse de la chanteuse d’Afatia. Nathalie Legrand a perdu ses parents. Cette femme est désormais son seul lien avec son enfance Saint-Pauloise.
Des « kabar » dans les « kartié »
Elle avait perdu la trace de « Mon René » quand celle-ci a quitté la ville pour le Moulin-à-Eau. Sans savoir que sa « nénène » vivait-là, Nathalie Legrand venait régulièrement se baigner dans l’eau douce des bassins situés en contrebas de la case de la vieille femme.
C’est donc, tout naturellement que Nathalie Legrand a souhaité débuter, ici, sa série de concerts prévus en 2015 sur la commune de Saint-Paul. Des « kabar » décentralisés qui vont permettre à Afatia de rencontrer des publics éloignés des scènes traditionnelles. Elle explique : « Nous souhaitons jouer là où les groupes ne vont jamais ».
Reportage : Christelle Floricourt et Alix Catherine