Le Sakifo, ce sont 8 scènes parmi lesquelles les grosses, les plus connues, mais aussi des lieux plus confidentiels, néanmoins fréquentés et animés. Parmi eux, il y a la salle verte. Focus sur la place incontournable de l’ambiance maloya.
Roulèr, kayamb et cari feu de bois… Bienvenue à la salle verte. Dans la plus pure tradition des salles de mariage ou de baptême, faite de feuilles tressées, le lieu accueille chaque soir les festivaliers en quête d’authenticité. Les artistes s’y pressent aussi. Il faut dire que, d’année en année, le bouche à oreilles fait son petit effet.
Le principe : il n’y en a pas ! « C’est la liberté culturelle » qui prime, explique Massaye, membre de l’association Simangavol qui gère la salle. Chacun arrive avec son envie, parfois même son talent, et le partage. Qu’il s’agisse de musique, de danse ou simplement de bonne humeur, tout le monde peut participer. Les groupes s’enchaînent, les bœufs aussi, et le moins que l’on puisse dire c’est que l’ambiance est garantie. Pour Massaye, c’est « plus que des bœufs, c’est l’esprit de partage plus que tout ».
Dans ce lieu, les grands maîtres de la Réunion sont à l’honneur, les femmes aussi. L’association porte le nom de la première esclave ayant fuit vers la montagne pour échapper à l’esclavage. Comme en hommage, Johnny Lagarrigue, son président, et les autres membres, accueillent les festivaliers et leurs font découvrir ou exprimer la tradition à travers le maloya, la cuisine mais aussi l’exposition d’artistes peintres ou photographes.
Samedi soir, malgré l’averse, la salle verte a tenue bon. Jusque tard dans la nuit, l’ambiance chaleureuse qui lui est si caractéristique a perduré. Et comme s’il ne pouvait en être autrement, le groupe féminin Simangavole, à sa sortie de scène, a rejoint l’équipe de la salle verte pour faire durer le plaisir. Un moment fort et qui, c’est une annonce, donnera lieu à une collaboration entre les deux à l’occasion du prochain gros kabar annuel de l’association, début janvier, dans la quartier de Basse Terre à Saint Pierre.
Le principe : il n’y en a pas ! « C’est la liberté culturelle » qui prime, explique Massaye, membre de l’association Simangavol qui gère la salle. Chacun arrive avec son envie, parfois même son talent, et le partage. Qu’il s’agisse de musique, de danse ou simplement de bonne humeur, tout le monde peut participer. Les groupes s’enchaînent, les bœufs aussi, et le moins que l’on puisse dire c’est que l’ambiance est garantie. Pour Massaye, c’est « plus que des bœufs, c’est l’esprit de partage plus que tout ».
Dans ce lieu, les grands maîtres de la Réunion sont à l’honneur, les femmes aussi. L’association porte le nom de la première esclave ayant fuit vers la montagne pour échapper à l’esclavage. Comme en hommage, Johnny Lagarrigue, son président, et les autres membres, accueillent les festivaliers et leurs font découvrir ou exprimer la tradition à travers le maloya, la cuisine mais aussi l’exposition d’artistes peintres ou photographes.
Samedi soir, malgré l’averse, la salle verte a tenue bon. Jusque tard dans la nuit, l’ambiance chaleureuse qui lui est si caractéristique a perduré. Et comme s’il ne pouvait en être autrement, le groupe féminin Simangavole, à sa sortie de scène, a rejoint l’équipe de la salle verte pour faire durer le plaisir. Un moment fort et qui, c’est une annonce, donnera lieu à une collaboration entre les deux à l’occasion du prochain gros kabar annuel de l’association, début janvier, dans la quartier de Basse Terre à Saint Pierre.