Les jurés des assises de La Réunion viennent de condamner Léonie Fortunat Troubat à 15 ans de prison. La jeune Malgache de 22 ans a été reconnue coupable du meurtre de son mari, Patrick Grondin, 47 ans.
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Léonie Fortunat Troubat, 22 ans, vient d’être reconnue coupable du meurtre de son mari. Les jurés de la cour d’assises de La Réunion viennent de la condamner à 15 de réclusion criminelle pour avoir tué Patrick Grondin, 47 ans, de 6 coups de poignard en plein cœur, le 2 Décembre 2012.
Au cours de cette audience de 2 jours, comme pendant l’enquête de police, l’accusée a changé sans cesse de version. Des récits qui collent plus ou moins avec les constatations des experts. Elle affirme avoir frappé son époux quand celui-ci a tenté de lui imposer un rapport sexuel. Le médecin légiste pense que la victime a été tuée dans son sommeil.
Elle tente de justifier son passage à l’acte en soulignant qu’elle souhaitait divorcer.
« Une croqueuse d’hommes »
Cette image lisse, de la jeune mariée originaire de Madagascar malheureuse en ménage, se froisse quand il est question des multiples conquêtes de l’accusée. L’expert psychiatre n’hésite pas à estimer que c’est : « une croqueuse d’hommes ». A Madagascar comme à La Réunion, alors officiellement mariée, Léonie Fortunat Troubat multiplie les aventures. Patrick Grondin ignore la vie dissolue de sa compagne, où ferme les yeux.
Ce soir du 1er au 2 Décembre 2012 Léonie Fortunat Troubat quitte la table du restaurant alors qu’elle dîne avec son mari et un couple d’amis pour parler avec un client. A la barre l’homme en question confirme, mais contrairement à l’accusée, révèle qu’ils n’ont jamais parlé de la grossesse de Léonie. Une incohérence de plus dans « l’ultime version » de la jeune femme. Dès le premier jour, l’accusée avait pourtant affirmé qu’elle avait réservé « La vérité » pour ce procès…
Manifestement, les jurés n’ont pas été convaincus. Léonie Fortunat Troubat vient d’être condamnée à 15 ans de prison.
Au cours de cette audience de 2 jours, comme pendant l’enquête de police, l’accusée a changé sans cesse de version. Des récits qui collent plus ou moins avec les constatations des experts. Elle affirme avoir frappé son époux quand celui-ci a tenté de lui imposer un rapport sexuel. Le médecin légiste pense que la victime a été tuée dans son sommeil.
Elle tente de justifier son passage à l’acte en soulignant qu’elle souhaitait divorcer.
« Une croqueuse d’hommes »
Cette image lisse, de la jeune mariée originaire de Madagascar malheureuse en ménage, se froisse quand il est question des multiples conquêtes de l’accusée. L’expert psychiatre n’hésite pas à estimer que c’est : « une croqueuse d’hommes ». A Madagascar comme à La Réunion, alors officiellement mariée, Léonie Fortunat Troubat multiplie les aventures. Patrick Grondin ignore la vie dissolue de sa compagne, où ferme les yeux.
Ce soir du 1er au 2 Décembre 2012 Léonie Fortunat Troubat quitte la table du restaurant alors qu’elle dîne avec son mari et un couple d’amis pour parler avec un client. A la barre l’homme en question confirme, mais contrairement à l’accusée, révèle qu’ils n’ont jamais parlé de la grossesse de Léonie. Une incohérence de plus dans « l’ultime version » de la jeune femme. Dès le premier jour, l’accusée avait pourtant affirmé qu’elle avait réservé « La vérité » pour ce procès…
Manifestement, les jurés n’ont pas été convaincus. Léonie Fortunat Troubat vient d’être condamnée à 15 ans de prison.