Un officier de marine français lance l’idée d’utiliser des balises Argos dérivantes afin de retrouver des débris et les boîtes noires du MH 370. Ce système permettrait de délimiter les zones de recherches terrestres et maritimes.
Au lendemain de l’annonce par l’Australie de la fin de l’examen du flaperon par les ingénieurs en aéronautique de Toulouse, un officier de marine émet une idée pour restreindre le périmètre des recherches nous apprend le journal Libération.
La découverte d’un morceau d’avion, sur le littoral saint-andréen a relancé l’espoir de découvrir l’épave du MH370 ou de comprendre pourquoi ce Boeing 777 a disparu en Mars 2014.
Pour l’auteur du guide des courants (édition Glénat), il est illusoire de remonter les courants océaniques pour délimiter la zone supposée du crash. En revanche, en mettant à l’eau des balises Argos, début 2016, dans la zone estimée de la disparition, il sera possible de suivre leurs dérives.
Ces balises émettrices devraient rencontrer des conditions météorologiques similaires et des courants identiques.
L’enregistrement des dérives permettront de remonter les courants et de restreindre les zones de recherches. Par ailleurs, si l’une des balises échoue sur une plage, des investigations terrestres pourraient permettre de nouveaux débris.
Selon François Vadon ce dispositif coûterait 50 000 Euros par balise. Ce qui n’est pas énorme comte tenu des sommes déjà engagées par les états qui ont participé aux recherches.
La découverte d’un morceau d’avion, sur le littoral saint-andréen a relancé l’espoir de découvrir l’épave du MH370 ou de comprendre pourquoi ce Boeing 777 a disparu en Mars 2014.
Pour l’auteur du guide des courants (édition Glénat), il est illusoire de remonter les courants océaniques pour délimiter la zone supposée du crash. En revanche, en mettant à l’eau des balises Argos, début 2016, dans la zone estimée de la disparition, il sera possible de suivre leurs dérives.
Ces balises émettrices devraient rencontrer des conditions météorologiques similaires et des courants identiques.
L’enregistrement des dérives permettront de remonter les courants et de restreindre les zones de recherches. Par ailleurs, si l’une des balises échoue sur une plage, des investigations terrestres pourraient permettre de nouveaux débris.
Selon François Vadon ce dispositif coûterait 50 000 Euros par balise. Ce qui n’est pas énorme comte tenu des sommes déjà engagées par les états qui ont participé aux recherches.