Le chauffeur du 38 tonnes à l'origine du carambolage mortel, lundi au pied du viaduc de la route des Tamarins à Saint-Paul, soutient que les freins de son camion ont lâché. Une ligne de défense mise à mal par les premières analyses effectuées sur le système de freinage.
Le conducteur du poids lourd qui a percuté un camion frigorifique et l'a projeté sur la Twingo, dont la conductrice est décédée et la passagère est gravement blessée, sera présenté à un juge d'instruction dans la journée.
Le routier de 31 ans est en garde à vue depuis lundi. Les enquêteurs de la gendarmerie l'interrogent sur les circonstances du drame.
Il était 9h30, pour une raison qui reste à préciser, l'homme perd le contrôle de son camion.
Les analyses du système de freinage ne confirment pas la version du routier
Depuis le début de son audition, il affirme avoir été victime d'une panne de frein. Cette version des faits n'a, pour l'instant, pas été corroborée par le premier examen mené par les agents de la DEAL, nous apprend le site Clicanoo. Un juge d'instruction devrait donc être en charge de ce dossier. Il va s'atteler à demander de nombreuses expertises afin de vérifier les affirmations du mis en cause. Les gendarmes vont également étudier minutieusement les vidéos de la Direction Régionale des Routes.
Défaut de maîtrise et vitesse excessive
La DRR dispose de plusieurs caméras sur les RN1 à l'Ouest et RN2 à l'Est dont plusieurs sous les tunnels situés en amont du viaduc, dans le sens Sud-Nord. S'il n'y a pas d'images de l'accident, il en existe des véhicules avant la collision. Elles pourraient permettre de déterminer, où et comment rouler les camions et les voitures impliqués dans le carambolage. Le conducteur du 38 tonnes gardé à vue devrait être mis en examen dans la journée pour vitesse excessive et défaut de maîtrise. En revanche, il semble peu probable qu'il soit placé en détention provisoire par le juge des libertés.
Le routier de 31 ans est en garde à vue depuis lundi. Les enquêteurs de la gendarmerie l'interrogent sur les circonstances du drame.
Il était 9h30, pour une raison qui reste à préciser, l'homme perd le contrôle de son camion.
Les analyses du système de freinage ne confirment pas la version du routier
Depuis le début de son audition, il affirme avoir été victime d'une panne de frein. Cette version des faits n'a, pour l'instant, pas été corroborée par le premier examen mené par les agents de la DEAL, nous apprend le site Clicanoo. Un juge d'instruction devrait donc être en charge de ce dossier. Il va s'atteler à demander de nombreuses expertises afin de vérifier les affirmations du mis en cause. Les gendarmes vont également étudier minutieusement les vidéos de la Direction Régionale des Routes.
Défaut de maîtrise et vitesse excessive
La DRR dispose de plusieurs caméras sur les RN1 à l'Ouest et RN2 à l'Est dont plusieurs sous les tunnels situés en amont du viaduc, dans le sens Sud-Nord. S'il n'y a pas d'images de l'accident, il en existe des véhicules avant la collision. Elles pourraient permettre de déterminer, où et comment rouler les camions et les voitures impliqués dans le carambolage. Le conducteur du 38 tonnes gardé à vue devrait être mis en examen dans la journée pour vitesse excessive et défaut de maîtrise. En revanche, il semble peu probable qu'il soit placé en détention provisoire par le juge des libertés.