L'avenir du groupe Apavou se joue devant la cour d'appel commercial qui rendra sa décision le 22 août prochain. Afin d'éviter la liquidation de plusieurs sociétés, Armand Apavou va vendre des logements locatifs. Il espère engranger, ainsi, 150 millions d'euros afin de sauver 8 de ses sociétés.
L'annonce a été effectuée sur Réunion la 1ère dans notre édition de 19 heures mardi soir, le groupe Apavou va vendre 1 800 logements de son parc locatif pour dégager 150 à 200 millions d'euros de liquidités. Avec cette somme, il espère sauver les sociétés Alia, Batipro, Batipro développement, Artea, Vulcain, Service Apavou, Bati Promotion et Sogecap dont l'avenir est en question devant le tribunal commercial de la Cour d'appel de Saint-Denis. Finalement la décision finale est mise en délibéré, elle sera connu le 22 août prochain
Une décision très importante !
Les liquidateurs judiciaires contestent les plans de redressement. Ils estiment que celui-ci n'est pas viable et que seule l'application de la décision du tribunal commercial de Saint-Denis est aujourd'hui raisonnable. Une affirmation contestée par les avocats d'Armand Apavou qui pointe du doigt les échéances du crédit foncier. Ils espèrent convaincre le tribunal du bien-fondé de leur démarche qui permettrait au groupe Apavou de se relancer.
La décision est très attendue par les responsables du groupe, les employés et les créanciers.
De son côté, de chef d'entreprise affirme que la vente de ces logements lui permettra d'éponger toute ses dettes avant la décision finale de la cour d'appel de Saint-Denis
Une décision très importante !
Les liquidateurs judiciaires contestent les plans de redressement. Ils estiment que celui-ci n'est pas viable et que seule l'application de la décision du tribunal commercial de Saint-Denis est aujourd'hui raisonnable. Une affirmation contestée par les avocats d'Armand Apavou qui pointe du doigt les échéances du crédit foncier. Ils espèrent convaincre le tribunal du bien-fondé de leur démarche qui permettrait au groupe Apavou de se relancer.
La décision est très attendue par les responsables du groupe, les employés et les créanciers.
De son côté, de chef d'entreprise affirme que la vente de ces logements lui permettra d'éponger toute ses dettes avant la décision finale de la cour d'appel de Saint-Denis