Alors que le Plan de Sauvegarde de l’Emploi proposé par la direction de l’entreprise attend la validation de la DIECCTE, les salariés ont décidé de reprendre la grève. 36 postes sont menacés.
Faute d’accord entre salariés et direction de l’entreprise Profilage, située au Port, c’est la Direction du travail qui doit trancher quant à la validation ou pas du Plan de Sauvegarde de l’Emploi proposé par la société. 36 postes sur les 86 que compte localement le groupe ArcelorMittal, pourraient alors être supprimés.
La DIECCTE ne s’est pas encore prononcée, mais les salariés ont décidé de reprendre la grève hier. Ils réclament qu’une prime de 30 000 euros soit versée aux salariés qui doivent être licenciés. Pour l’heure, une enveloppe est bien prévue par la direction, mais soumise à conditions. Ainsi, pour être indemnisé, le salarié doit produire des garanties de reclassement, telles qu’une promesse d’embauche ou la création de sa propre société.
La DIECCTE a jusqu’au 21 février pour émettre un avis sur le Plan de Sauvegarde de l’Emploi.
La DIECCTE ne s’est pas encore prononcée, mais les salariés ont décidé de reprendre la grève hier. Ils réclament qu’une prime de 30 000 euros soit versée aux salariés qui doivent être licenciés. Pour l’heure, une enveloppe est bien prévue par la direction, mais soumise à conditions. Ainsi, pour être indemnisé, le salarié doit produire des garanties de reclassement, telles qu’une promesse d’embauche ou la création de sa propre société.
La DIECCTE a jusqu’au 21 février pour émettre un avis sur le Plan de Sauvegarde de l’Emploi.