Jules Tarley, 45 ans, était seul avant sa double tentative de meurtre, il est reparti seul de la cour d'assises de La Réunion pour purger sa peine de 18 années de réclusion criminelle. Il ne fera pas appel de ce verdict !
Après deux jours d'audience, les jurés ont condamné Jules Tarley à 18 ans de réclusion criminelle comme l'avait requis l'avocate générale.
Le ministère public s'est appuyé sur le dossier, les témoignages des victimes, de l'ex-femme de l'accusé et de l'expert psychiatre pour bâtir son réquisitoire. Le prévenu a réellement tenté de tuer ses propres filles, il suffit de compter le nombre de coups qu'il a porté à l'une, puis à l'autre. Le père de famille ne faisait rien au sein de son foyer. Son ex-compagne, ses filles, mais également les amis, les voisins ont confirmé qu'il était distant, voire absent.
L'accusé ne fera pas appel
Pour le ministère public, quand Jules Tarley évoque l'infidélité de son épouse, suite à un SMS qui ne prêtait pas à s'interroger sur la fidélité de sa compagne, il tente de masquer ses propres turpitudes et essaye se trouver des excuses.
Ces évidences sont-elles à l'origine de la prise de parole de ce père criminel ? Peut-être. Selon la partie civile, comme l'accusation quand il a présenté ses excuses et a finalement reconnu avoir commis un acte odieux, il pleurait sur lui et non sur ses filles. Il oublie la douleur physique et psychologique qu'il leur a fait endurer et qu'elles endurent toujours, deux ans après les faits.
Jules Tarley a accepté le verdict et a signalé qu'il n'avait pas l'intention de faire appel.
Le ministère public s'est appuyé sur le dossier, les témoignages des victimes, de l'ex-femme de l'accusé et de l'expert psychiatre pour bâtir son réquisitoire. Le prévenu a réellement tenté de tuer ses propres filles, il suffit de compter le nombre de coups qu'il a porté à l'une, puis à l'autre. Le père de famille ne faisait rien au sein de son foyer. Son ex-compagne, ses filles, mais également les amis, les voisins ont confirmé qu'il était distant, voire absent.
L'accusé ne fera pas appel
Pour le ministère public, quand Jules Tarley évoque l'infidélité de son épouse, suite à un SMS qui ne prêtait pas à s'interroger sur la fidélité de sa compagne, il tente de masquer ses propres turpitudes et essaye se trouver des excuses.
Ces évidences sont-elles à l'origine de la prise de parole de ce père criminel ? Peut-être. Selon la partie civile, comme l'accusation quand il a présenté ses excuses et a finalement reconnu avoir commis un acte odieux, il pleurait sur lui et non sur ses filles. Il oublie la douleur physique et psychologique qu'il leur a fait endurer et qu'elles endurent toujours, deux ans après les faits.
Jules Tarley a accepté le verdict et a signalé qu'il n'avait pas l'intention de faire appel.