Lundi après-midi, la baleine juvénile échouée à la Grande-Chaloupe, était remise dans l'océan et retrouvait la liberté. Malheureusement, à 17 h 30, elle s'est à nouveau échouée. Une nouvelle opération va être mise en place pour la sauver. La tentative de la dernière chance.
Est-il encore possible de sauver Billy ? Sans préjuger du résultat, les heures passent et la réponse risque, malheureusement, d'être négative ! Lundi 29 octobre 2018, après plus de 8 heures d'efforts, les plongeurs de la Nouvelle Route du Littoral, aidés des ouvriers des différentes sociétés impliquées dans la construction du viaduc, permettaient à Billy de retrouver l'océan.
Depuis 6 heures du matin, la baleine à bosse juvénile était échouée sous le viaduc au niveau de la Grande-Chaloupe.
Pour lui éviter une mort certaine, il était décidé de construire, le plus rapidement possible, une voie permettant de se rapprocher du cétacé. Une grue de halage, munie d'un bras télescopique et pouvant soulever 40 tonnes, a été mise à disposition des secouristes. Elle a permis de soulever la baleine à bosse de 10 mètres et de 10 à 15 tonnes, grâce à un lit de sangles larges glissées sous son corps. En milieu d'après-midi, Billy, retrouvait la liberté et des profondeurs suffisantes pour se mouvoir. Cependant, son trajet aura été très bref. À 17 h 30, on apprenait que le cétacé était à nouveau échoué contre les tétrapodes et accropodes de la NRL vers la pointe du Gouffre.
Compte tenu de l'endroit, impossible pour les secouristes d'intervenir par la terre. Cette fois, les moyens sont obligatoirement maritimes. Comme la veille, l'association Globice s'appuie sur le réseau national d'échouages de l'université de La Rochelle afin de trouver les meilleures solutions pour sauver Billy.
Les dernières observations effectuées sont critiques. La baleine est épuisée et il n'est pas certain qu'elle reparte un jour vers l'antarctique.
Compte tenu de sa taille et de son poids, Billy n'est pas un baleineau, mais une femelle juvénile selon les spécialistes.
Les baleines femelles atteignent leur maturité sexuelle vers l'âge de 8 à 10 ans.
Depuis 6 heures du matin, la baleine à bosse juvénile était échouée sous le viaduc au niveau de la Grande-Chaloupe.
Pour lui éviter une mort certaine, il était décidé de construire, le plus rapidement possible, une voie permettant de se rapprocher du cétacé. Une grue de halage, munie d'un bras télescopique et pouvant soulever 40 tonnes, a été mise à disposition des secouristes. Elle a permis de soulever la baleine à bosse de 10 mètres et de 10 à 15 tonnes, grâce à un lit de sangles larges glissées sous son corps. En milieu d'après-midi, Billy, retrouvait la liberté et des profondeurs suffisantes pour se mouvoir. Cependant, son trajet aura été très bref. À 17 h 30, on apprenait que le cétacé était à nouveau échoué contre les tétrapodes et accropodes de la NRL vers la pointe du Gouffre.
Des secours maritimes s'organisent
Compte tenu de l'endroit, impossible pour les secouristes d'intervenir par la terre. Cette fois, les moyens sont obligatoirement maritimes. Comme la veille, l'association Globice s'appuie sur le réseau national d'échouages de l'université de La Rochelle afin de trouver les meilleures solutions pour sauver Billy.
Les dernières observations effectuées sont critiques. La baleine est épuisée et il n'est pas certain qu'elle reparte un jour vers l'antarctique.
Billy : une baleine femelle juvénile
Billy, mesure environ 10 mètres et pèse de 10 à 15 tonnes. Par erreur, il était question, lundi matin, d'un baleineau. Compte tenu de la taille du cétacé, l'association Globice a rapidement rectifié cette affirmation en parlant d'une baleine juvénile. Les baleineaux des baleines à bosse qui côtoient les eaux de La Réunion, mesurent, à la naissance, 4 à 4,5 mètres et pèsent en moyenne 700 kilos.Compte tenu de sa taille et de son poids, Billy n'est pas un baleineau, mais une femelle juvénile selon les spécialistes.
Les baleines femelles atteignent leur maturité sexuelle vers l'âge de 8 à 10 ans.