Les automobilistes de l'Ouest et du Sud qui avaient le projet de venir sur Saint-Denis ou dans l'Est en passant par la route du littoral, ce jeudi 22 février 2018, doivent renoncer à leur projet. À 9 heures, s'étirait de la route du littoral à la route des Tamarins, au niveau de l'Ermitage.
C'est du jamais-vu ! Un bouchon titanesque ! De Saint-Denis à l'Ermitage, soit, plus de 30 kilomètres de ralentissement. Pas d'accident, pas de déviation par la route de La Montagne dû à un éboulis. En fait, rien d'incroyable qui permette d'expliquer cet embouteillage record. En cause, le fardier plus connu sous le nom de "Ladilafé", qui est en charge de basculer et "débasculer" les voies côté mer. Selon les explications de la Direction Régionale des Routes qui constate le problème, mais n'est pas responsable de cet incident, une panne hydraulique lourde est survenue vers 4 heures du matin sur "Ladidafé".
"Ladilafé" en panne
Il a fallu sortir la machine orange de la chaussée, puis nettoyer l'huile qui s'était répandue sur l'asphalte. Compte tenu de la difficulté des opérations, la réouverture sur quatre-voies entre Saint-Denis et La Possession s'est effectuée nettement plus tard et les ouvriers, de la société en charge de la gestion des plots, n'ont pas pu intervenir aux horaires habituels. A 7 heures, les deux bras qui annoncent la circulation à double sens, côté montagne pendant la nuit, étaient toujours en place, provoquant un immense bouchon. Des automobilistes, sur la route dès 6h30, ont mis plus de deux heures pour rallier le chef-lieu. Un temps de parcours qui n'a cessé de s'allonger au fil des heures.
"Ladilafé" en panne
Il a fallu sortir la machine orange de la chaussée, puis nettoyer l'huile qui s'était répandue sur l'asphalte. Compte tenu de la difficulté des opérations, la réouverture sur quatre-voies entre Saint-Denis et La Possession s'est effectuée nettement plus tard et les ouvriers, de la société en charge de la gestion des plots, n'ont pas pu intervenir aux horaires habituels. A 7 heures, les deux bras qui annoncent la circulation à double sens, côté montagne pendant la nuit, étaient toujours en place, provoquant un immense bouchon. Des automobilistes, sur la route dès 6h30, ont mis plus de deux heures pour rallier le chef-lieu. Un temps de parcours qui n'a cessé de s'allonger au fil des heures.