Trois hommes, suspectés d’être les auteurs du braquage de l’hypermarché de Saint-Paul, ont été interpellés et placés en garde à vue. Les preuves recueillies sur les lieux au moment des faits, le 3 août 2017, ont permis ces interpellations.
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Un an et demi après les faits, trois braqueurs présumés du Super U de Saint-Paul ont été placés en garde à vue à la compagnie de gendarmerie de Saint-Paul. Deux d’entre eux sont déjà connus de la justice pour cambriolage et braquage.
Ces interpellations ont été possibles grâce aux indices et éléments de preuve collectées sur les lieux des faits par les techniciens de l’identification criminelle. Les trois hommes sont ainsi accusés d’avoir dérobé la caisse de l’hypermarché de la Chaussée Royale le 3 août 2017.
Les précisions de Nathalie Rougeau.
Le jeudi 3 août 2017, c’est une scène surréaliste qui s’est déroulée dans le centre-ville de Saint-Paul. Des individus s’introduisent dans le magasin au moment de la fermeture. L’alerte est donnée et très vite une trentaine de gendarmes et une dizaine de pompiers sont déployés dans le quartier.
L’hélicoptère est appelé en appui du GIGN, prêt à donner l’assaut. La prise d’otage est envisagée. Finalement, le GIGN interviendra à 22h30, mais les voleurs sont partis depuis longtemps. Les gendarmes découvrent en revanche un vigile blessé par arme à feu et la chef-caissière cachée dans un bureau.
Ces interpellations ont été possibles grâce aux indices et éléments de preuve collectées sur les lieux des faits par les techniciens de l’identification criminelle. Les trois hommes sont ainsi accusés d’avoir dérobé la caisse de l’hypermarché de la Chaussée Royale le 3 août 2017.
Les précisions de Nathalie Rougeau.
Une scène surréaliste
Le jeudi 3 août 2017, c’est une scène surréaliste qui s’est déroulée dans le centre-ville de Saint-Paul. Des individus s’introduisent dans le magasin au moment de la fermeture. L’alerte est donnée et très vite une trentaine de gendarmes et une dizaine de pompiers sont déployés dans le quartier.
L’hélicoptère est appelé en appui du GIGN, prêt à donner l’assaut. La prise d’otage est envisagée. Finalement, le GIGN interviendra à 22h30, mais les voleurs sont partis depuis longtemps. Les gendarmes découvrent en revanche un vigile blessé par arme à feu et la chef-caissière cachée dans un bureau.