Pas de Salon de la Maison en 2020. La 32ème édition, qui devait se dérouler du 26 septembre au 4 octobre, est annulée. La décision fait suite à l’annonce du Premier ministre de prolonger l’interdiction des rassemblements de plus de 5 000 personnes jusqu’au 30 octobre.
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C’est un coup dur pour le secteur. Les professionnels de l’habitat, de la décoration ou encore de la construction ne tiendront pas leur traditionnel salon cette année, crise sanitaire du coronavirus oblige. Initialement prévue du 1er au 10 mai, la manifestation avait dû être repoussée, elle est finalement annulée.
Hier, mardi 11 août, le Premier ministre, Jean Castex, a en effet annoncé la prolongation de l’interdiction des rassemblements de plus de 5 000 personnes jusqu’au 30 octobre.
L’an dernier, 103 000 visiteurs ont foulé les allées du Parc des expositions à Saint-Denis durant les 9 jours de manifestation. Ils avaient été près de 20 000 rien que pour le 1er mai. Une fréquentation impensable dans ce contexte de crise sanitaire du coronavirus et compte-tenu des restrictions imposées.
La 31ème édition du Salon de la Maison avait alors rassemblées près de 450 exposants. Des professionnels qui y réalisent en moyenne 10 à 50% de leur chiffre d’affaire annuel. Déjà fortement impactés par la crise, il sera d’autant plus difficile pour eux de remplir les carnets de commandes cette année.
Hier, mardi 11 août, le Premier ministre, Jean Castex, a en effet annoncé la prolongation de l’interdiction des rassemblements de plus de 5 000 personnes jusqu’au 30 octobre.
20 000 visiteurs le 1er mai en 2019
L’an dernier, 103 000 visiteurs ont foulé les allées du Parc des expositions à Saint-Denis durant les 9 jours de manifestation. Ils avaient été près de 20 000 rien que pour le 1er mai. Une fréquentation impensable dans ce contexte de crise sanitaire du coronavirus et compte-tenu des restrictions imposées.
Un coup dur pour les professionnels
La 31ème édition du Salon de la Maison avait alors rassemblées près de 450 exposants. Des professionnels qui y réalisent en moyenne 10 à 50% de leur chiffre d’affaire annuel. Déjà fortement impactés par la crise, il sera d’autant plus difficile pour eux de remplir les carnets de commandes cette année.