Les magistrats dionysiens doivent désigner à 14 heures, ce mardi 27 mars 2018, qui du département et des AGS, devra verser les sommes dues depuis 2009 aux 60 ex-salariés protégés de l'Arast, une association qui dépendait du Conseil général et qui a été liquidée en 2009.
Les 60 ex-salariés protégés de l'Arast attendent depuis 9 ans d'être payé. Depuis 2009 et la liquidation de l'Arast (Association Régionale d'Accompagnement. Social Territorialisé), ils sont les spectateurs involontaires du bras de fer que se livrent, l'AGS et le département pour verser les indemnités dues aux ex-Arast. Les délégués du personnel, qui bénéficiaient d'un statut protégé (du fait de leurs fonctions syndicales), n'ont toujours pas perçu leurs indemnités.
9 ans d'attente !
Si une partie des sommes dues a été versée en 2012, le solde se fait toujours attendre pour la quasi-totalité des ex-Arast. À leurs côtés d'autres n'ont pas perçu le moindre centime,soit parce qu'ils avaient refusé l'avance sur les sommes dues, soit parce que leur statut compliqué l'analyse des magistrats. Certains attendent donc depuis 9 ans de percevoir leur dû.
Korbey d'Or, association financée par le département, a succédé à l'Arast. Comme elle, elle est destinée à venir en aide, à domicile, aux personnes âgées. Comme elle, elle connaît des difficultés financières et comme les ex-Arast, les salariés licenciés ont toutes les peines du monde à se faire payer leurs indemnités. Espérons pour eux qu'ils n'attendent pas 9 ans.
9 ans d'attente !
Si une partie des sommes dues a été versée en 2012, le solde se fait toujours attendre pour la quasi-totalité des ex-Arast. À leurs côtés d'autres n'ont pas perçu le moindre centime,soit parce qu'ils avaient refusé l'avance sur les sommes dues, soit parce que leur statut compliqué l'analyse des magistrats. Certains attendent donc depuis 9 ans de percevoir leur dû.
Korbey d'Or, association financée par le département, a succédé à l'Arast. Comme elle, elle est destinée à venir en aide, à domicile, aux personnes âgées. Comme elle, elle connaît des difficultés financières et comme les ex-Arast, les salariés licenciés ont toutes les peines du monde à se faire payer leurs indemnités. Espérons pour eux qu'ils n'attendent pas 9 ans.