Le Mozambique, le Zimbabwe et le Malawi se relèvent difficilement des dégâts occasionnés par le cyclone Idai. Trois semaines après le passage du météore, les trois pays comptent 843 morts, plus de 140 000 sinistrés, 1 640 blessés et 1 428 victimes du choléra qui a déjà fait deux morts.
Les conséquences du cyclone Idai sur le Mozambique, le Zimbabwe et le Malawi sont inimaginables. Les organisations humanitaires se démultiplient, mais les besoins sont immenses. Il devient difficile de lire les derniers bilans, tant les chiffres relevés par les secouristes sont sidérants.
On compte au moins 843 morts et ce décompte macabre n'est pas définitif. De nombreux disparus sont signalés dans les trois pays.
Les hôpitaux de fortune ont déjà soigné 1 640 blessés, mais désormais les médecins voient affluer les victimes du choléra. 1 428 cas sont confirmés et deux d'entre eux ont été mortels selon fr.news.yahoo.com.
La ville de Beira est en ruine. Les habitants ne peuvent plus réintégrer leurs maisons. Elles ont été dévastées par les eaux. Ce liquide, si précieux quand il est potable, manque cruellement. Pour étancher leur soif, les sinistrés le consomment même quand il stagne là, depuis plusieurs jours. Pas surprenant dans ces conditions que le choléra ait commencé à faire des ravages dans les campagnes de la région. Juste sur ce secteur les ONG tentent de venir en aide à 141 000 personnes.
Ils n'ont plus rien à manger, rien pour s'abriter, ils dorment debout. Une femme qui s'était réfugiée dans un manguier a accouché seule, dans l'arbre.
On estime qu'un million d'enfants ont besoin d'une aide d'urgence dans ces pays.
On compte au moins 843 morts et ce décompte macabre n'est pas définitif. De nombreux disparus sont signalés dans les trois pays.
Les hôpitaux de fortune ont déjà soigné 1 640 blessés, mais désormais les médecins voient affluer les victimes du choléra. 1 428 cas sont confirmés et deux d'entre eux ont été mortels selon fr.news.yahoo.com.
Une femme accouche dans un manguier
La ville de Beira est en ruine. Les habitants ne peuvent plus réintégrer leurs maisons. Elles ont été dévastées par les eaux. Ce liquide, si précieux quand il est potable, manque cruellement. Pour étancher leur soif, les sinistrés le consomment même quand il stagne là, depuis plusieurs jours. Pas surprenant dans ces conditions que le choléra ait commencé à faire des ravages dans les campagnes de la région. Juste sur ce secteur les ONG tentent de venir en aide à 141 000 personnes.
Ils n'ont plus rien à manger, rien pour s'abriter, ils dorment debout. Une femme qui s'était réfugiée dans un manguier a accouché seule, dans l'arbre.
On estime qu'un million d'enfants ont besoin d'une aide d'urgence dans ces pays.