Invité de la matinale, le président de la CPME-Réunion estime que « toutes les entreprises ont souffert » du passage de Fakir.
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Face aux contraintes différentes de la métropole, la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises propose de « mettre en place une provision pour risques climatiques. » Principe : de l’argent mis de côté, non fiscalisé au départ, et utilisable après la tempête.
Prélèvement à la source : « harcèlement textuel »
Selon Dominique Vienne, « on a donné au chef d’entreprise, dont ce n’est pas le métier, de faire le travail de l’Etat. Ce risque, on ne l’a pas demandé. Peut-être qu’il y aura des défilés (de salariés mécontents) dans les bureaux (des patrons) »
Délais Kbis : appliquer la loi
Actuellement de 6 mois (contre quelques heures en métropole…), ils peuvent être réduits si Annick Girardin tient parole : « en septembre 2017, la ministre des Outre-Mer affirmait que les lois Lurel et Macron (transfert du Kbis aux chambres de commerce) serait appliquée. Aujourd’hui, le gouvernement ne respecte pas la loi. »
L’entreprise : « une solution, pas le problème »
Interrogé sur la mobilisation contre la politique d’Emmanuel Macron, Dominique Vienne assure que « chacun peut mesurer l’ambition du président de la république de mener des réformes. » Rappelant la mise en œuvre de la loi El Khomri, il en évoque « le 1er effet, qui me tient à cœur : l’obligation de formation au dialogue social des chefs d’entreprises et des salariés. Il faut mettre en place ces formations pour éviter qu’on soit dans la rue. »
Dominique Vienne, Président de la CPME-Réunion
Prélèvement à la source : « harcèlement textuel »
Selon Dominique Vienne, « on a donné au chef d’entreprise, dont ce n’est pas le métier, de faire le travail de l’Etat. Ce risque, on ne l’a pas demandé. Peut-être qu’il y aura des défilés (de salariés mécontents) dans les bureaux (des patrons) »
Délais Kbis : appliquer la loi
Actuellement de 6 mois (contre quelques heures en métropole…), ils peuvent être réduits si Annick Girardin tient parole : « en septembre 2017, la ministre des Outre-Mer affirmait que les lois Lurel et Macron (transfert du Kbis aux chambres de commerce) serait appliquée. Aujourd’hui, le gouvernement ne respecte pas la loi. »
L’entreprise : « une solution, pas le problème »
Interrogé sur la mobilisation contre la politique d’Emmanuel Macron, Dominique Vienne assure que « chacun peut mesurer l’ambition du président de la république de mener des réformes. » Rappelant la mise en œuvre de la loi El Khomri, il en évoque « le 1er effet, qui me tient à cœur : l’obligation de formation au dialogue social des chefs d’entreprises et des salariés. Il faut mettre en place ces formations pour éviter qu’on soit dans la rue. »