Les gendarmes du GIGN étaient sur le pied de guerre en début de nuit, ce mercredi 10 octobre 2018, à l'aéroport Roland-Garros. Une simulation de prise d'otage étaient organisée dans un avion d'Air Austral. Une intervention délicate qui demande de se confronter aux réalités du terrain d'intervention.
Le tarmac de l'aéroport de Roland-Garros est restée éclairé longtemps après le décollage du dernier avion, mercredi soir.
Le GIGN, grâce à la mise à disposition d'un avion par la compagnie Air Austral, a pu étudier les difficultés d'une intervention en cas de prise d'otages.
Quoi de mieux que le terrain pour prendre conscience des écueils ?
Cet exercice, s'il se veut le plus réaliste possible, ne reproduira jamais toutes les difficultés qu'engendre obligatoirement l'urgence de sauver des vies. Pour l'occasion étaient présents le commandant de la gendarmerie de La Réunion et la direction de l'aviation civile nous apprend la gendarmerie de La Réunion sur sa page Facebook. Le débriefing global de cet entraînement va prendre plusieurs semaines.
Il va permettre d'affiner les missions des différents intervenants afin d'être le plus près possible, le jour où éventuellement cette situation extrême se présentera.
Le GIGN, grâce à la mise à disposition d'un avion par la compagnie Air Austral, a pu étudier les difficultés d'une intervention en cas de prise d'otages.
Quoi de mieux que le terrain pour prendre conscience des écueils ?
Cet exercice, s'il se veut le plus réaliste possible, ne reproduira jamais toutes les difficultés qu'engendre obligatoirement l'urgence de sauver des vies. Pour l'occasion étaient présents le commandant de la gendarmerie de La Réunion et la direction de l'aviation civile nous apprend la gendarmerie de La Réunion sur sa page Facebook. Le débriefing global de cet entraînement va prendre plusieurs semaines.
Il va permettre d'affiner les missions des différents intervenants afin d'être le plus près possible, le jour où éventuellement cette situation extrême se présentera.