Jean-Luc Amaravady succède à Logambal Souprayen Cavery, la première présidente de la fédération Tamoule qui avait dû jeter l'éponge il y a quelques mois
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Jean-Luc Amaravady a été lu à l'unanimité ce matin à Saint-Paul par les membres de la fédération Tamoule de La Réunion. IL succède ainsi à Logambal Souprayen Cavery, démissionnaire. Elle avait rendu son mandat après 3 ans à la tête de la structure. Elle avait dû notamment affronter l'opposition de plusieurs partisans de son prédécesseur Daniel Minienpoullé.
A l'époque, Logambal Souprayen-Cavéry avait expliqué sa décision et son départ par les ''nombreuses pressions (menaces, blocage du fonctionnement, violences verbales et écrites, perturbations des assemblées...) coordonnées par un groupe d'administrateurs depuis 2016.''
Aujourd'hui c'est dans un climat un peu plus apaisé que Jean-Luc Amaravady prend les rênes de la fédération Tamoule qui compte aujourd'hui une centaine d'associations. C'est lui qui avait supervisé les travaux de rénovation du Temple du Chaudron. Il avait présidé pendant 6 ans l'association Tamoule culturelle de ce quartier de Saint-Denis.
Jean-Luc Amaravady avait fait de la rénovation du Temple l'un de ses principaux objectifs. Des artistes indiens et des jeunes du quartier ont participé à ces travaux dès 2016.
Le temple, officiellement construit en 1920, est un élément important de cette partie du chef-lieu. Il aurait été bâti, à la manière de ceux du Sud de l’Inde, par les engagés indiens qui travaillaient au Domaine du Chaudron, situé non loin du site religieux.
Aujourd'hui c'est dans un climat un peu plus apaisé que Jean-Luc Amaravady prend les rênes de la fédération Tamoule qui compte aujourd'hui une centaine d'associations. C'est lui qui avait supervisé les travaux de rénovation du Temple du Chaudron. Il avait présidé pendant 6 ans l'association Tamoule culturelle de ce quartier de Saint-Denis.
Jean-Luc Amaravady avait fait de la rénovation du Temple l'un de ses principaux objectifs. Des artistes indiens et des jeunes du quartier ont participé à ces travaux dès 2016.
Le temple, officiellement construit en 1920, est un élément important de cette partie du chef-lieu. Il aurait été bâti, à la manière de ceux du Sud de l’Inde, par les engagés indiens qui travaillaient au Domaine du Chaudron, situé non loin du site religieux.