Rendre accessibles au grand public des films du continent africain et de sa diaspora, c’est l’objectif du Festival Court Derrière. Des films d’ordinaire projetés dans des festivals professionnels, souvent confidentiels, que les organisateurs veulent mettre en avant.
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La 2ème édition du "Festival Court Derrière" se déroule du 7 au 14 octobre à Saint-Denis. Le festival met en avant le cinéma des diasporas africaines. 25 courts-métrages sont en compétition. Des échanges avec les réalisateurs permettent ainsi de savoir et de comprendre comment se fabrique un film.
L’événement est organisé par le collectif gaudeloupéen "Cinemawon" et le collectif réunionnais "Klaxon". Laurent Pantaléon est un des membres de ce collectif, qui anime des ateliers d’éducation à l’image. Il accompagne ces jeunes.
Reportage de Harry Amourani et Thierry Chenayer.
Cette édition a choisi de rendre hommage à la réalisatrice Sarah Maldror, doyenne du cinéma panafricain. Deux documentaires, "Toto Bissainthe" de Sarah Maldoror et "Sarah Maldoror ou la nostalgie de l’utopie" de Anne-Laure Folly, ont été projeté mercredi 7 octobre en ouverture du festival.
Une place particulière est faite aux réalisatrices. La parité n’est pas encore là, mais la volonté d’y parvenir, oui.
Les lauréats de cette 2ème édition du Festival Court Derrière seront dévoilés le samedi 14 octobre à Château Morange, dans le quartier des Camélias à Saint-Denis.
Des projections et de la création
Les jeunes, de tous horizons, ont aussi la parole. Certains d’entre eux participent à un concours sur le thème : " C'est dans le noir qu'on voit la lumière ". Les jeunes disposent de 48 heures pour réaliser leur court-métrage. Une bonne approche du milieu du cinéma et un bon exercice pratique.L’événement est organisé par le collectif gaudeloupéen "Cinemawon" et le collectif réunionnais "Klaxon". Laurent Pantaléon est un des membres de ce collectif, qui anime des ateliers d’éducation à l’image. Il accompagne ces jeunes.
Reportage de Harry Amourani et Thierry Chenayer.
2ème édition du « Festival Court Derrière », dédié aux diasporas africaines
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Le cinéma Panafricain à l’honneur
Durant 7 jours, des films du continent africain, de la Guyane, des Antilles, de La Réunion sont projetés. L’occasion de rendre accessibles, de montrer, des films jusque-là accessibles uniquement dans les festivals professionnels internationaux.Cette édition a choisi de rendre hommage à la réalisatrice Sarah Maldror, doyenne du cinéma panafricain. Deux documentaires, "Toto Bissainthe" de Sarah Maldoror et "Sarah Maldoror ou la nostalgie de l’utopie" de Anne-Laure Folly, ont été projeté mercredi 7 octobre en ouverture du festival.
Une place particulière est faite aux réalisatrices. La parité n’est pas encore là, mais la volonté d’y parvenir, oui.
Exister malgré la crise sanitaire
La 2ème série des films en compétition sera projetée ce samedi soir à 19h à Château Morange. Parmi eux, des courts-métrages venus du Brésil, du Togo, du Cameroun ou encore de Haïti. Des films qu’il est aussi possible de visionner pendant 48 heures après diffusion sur le site internet du festival, pour ceux qui n’auront pu se déplacer.Les lauréats de cette 2ème édition du Festival Court Derrière seront dévoilés le samedi 14 octobre à Château Morange, dans le quartier des Camélias à Saint-Denis.