Un réveil plus que frileux au Pas de Bellecombe, le thermomètre à l’aube affichait 3 ° ce mardi. Le front froid de passage sur l’île n’a finalement pas déposé de flocons au sommet du Piton des Neiges, comme espéré.
Le passage d'un front froid sur le département aurait pu déposer un léger manteau blanc à très haute altitude, vers 3000 mètres, ce lundi en fin d'après-midi.
Le risque était très faible, avait toutefois précisé les services de Météo-France. La neige ne serait d'ailleurs pas restée longtemps, en raison du vent et surtout de la température au sol car elle était supérieure à 0 °.
Pas la trace d'un seul flocon au sommet du Piton des neiges, tant pis, cette perspective avait fait rêver plus d'un. L'épisode d'Août 2003 où la neige s'était abattue sur le toit de la Réunion a tellement marqué les mémoires, combien ont immortalisé les paysages de la Plaine des Sables qui ont viré de l'ocre au blanc immaculé.
D'autres fronts froids sont à venir et qui sait. En attendant, on a bien grelotté la nuit dernière au Maido, il a fait -3° à 2200 mètres, 15° degrés sur le littoral, le réveil a été glacial au pas de Bellecombe qui avait la tête dans la bruine et le brouillard.
Le reportage de Henri-Claude Elma et de Lois Mussard
Le risque était très faible, avait toutefois précisé les services de Météo-France. La neige ne serait d'ailleurs pas restée longtemps, en raison du vent et surtout de la température au sol car elle était supérieure à 0 °.
Zéro flocon sur le plus haut sommet de l'île
Pas la trace d'un seul flocon au sommet du Piton des neiges, tant pis, cette perspective avait fait rêver plus d'un. L'épisode d'Août 2003 où la neige s'était abattue sur le toit de la Réunion a tellement marqué les mémoires, combien ont immortalisé les paysages de la Plaine des Sables qui ont viré de l'ocre au blanc immaculé.
D'autres fronts froids sont à venir et qui sait. En attendant, on a bien grelotté la nuit dernière au Maido, il a fait -3° à 2200 mètres, 15° degrés sur le littoral, le réveil a été glacial au pas de Bellecombe qui avait la tête dans la bruine et le brouillard.
Le reportage de Henri-Claude Elma et de Lois Mussard
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