Jean-Leu Enilvent, principal du collège de Salazie, a été placé en détention provisoire, jeudi à l'issue de sa mise en examen harcèlement moral, harcèlement et agression sexuels. Le suspect qui avait reconnu les faits en garde à vue est revenu sur ses aveux devant le juge d'instruction.
Après 48 heures de garde à vue et une mise en examen pour harcèlement moral, harcèlement et agression sexuels, Jean-Leu Enilvent, principal du collège Auguste-Lacaussade à Salazie a été placé en détention provisoire. Pourtant en arrivant au tribunal, il était convenu, qu'après ses aveux, le suspect pourrait retrouver l'air libre, sous contrôle judiciaire, suite à ses aveux.
Une nouvelle version face au juge
Un accord tacite avait été convenu entre le parquet et le prévenu. Pour avoir reconnu les faits, Jean-Leu Enilvent pourrait retrouver son domicile après son passage obligatoire au tribunal. Cet accord, tacite, a volé en éclat lors de la présentation du principal face juge d'instruction. au moment de sa mise en examen, son avocat à ses côtés, il est revenu sur ses aveux . Il a expliqué, une nouvelle fois, qu'il était victime d'un complot. Pire, ce sont les plaignantes qui le poursuivaient et le harcelaient.
Détention provisoire
Compte tenu de ce brusque changement de version, le magistrat instructeur a signifié à l'intéressé que l'éventuelle remise en liberté sous contrôle judiciaire dépendrait désormais du juge des libertés et de la détention, soit le parcours classique des prévenus déférés. Inutile de préciser que le challenge était audacieux. Il s'est d'ailleurs achevé sur le placement en détention provisoire de Jean-Leu Enilvent.
Une nouvelle version face au juge
Un accord tacite avait été convenu entre le parquet et le prévenu. Pour avoir reconnu les faits, Jean-Leu Enilvent pourrait retrouver son domicile après son passage obligatoire au tribunal. Cet accord, tacite, a volé en éclat lors de la présentation du principal face juge d'instruction. au moment de sa mise en examen, son avocat à ses côtés, il est revenu sur ses aveux . Il a expliqué, une nouvelle fois, qu'il était victime d'un complot. Pire, ce sont les plaignantes qui le poursuivaient et le harcelaient.
Détention provisoire
Compte tenu de ce brusque changement de version, le magistrat instructeur a signifié à l'intéressé que l'éventuelle remise en liberté sous contrôle judiciaire dépendrait désormais du juge des libertés et de la détention, soit le parcours classique des prévenus déférés. Inutile de préciser que le challenge était audacieux. Il s'est d'ailleurs achevé sur le placement en détention provisoire de Jean-Leu Enilvent.