Un patient sur trois porteurs de l’hépatite C l’ignore toujours. Il n’existe donc qu’un seul moyen pour lever cet obstacle : le dépistage. Une vaste campagne de sensibilisation vous invite à le faire, surtout si vous avez été hospitalisé(e) avant 1997.
Le problème n’est plus d’être atteint de l’hépatite C, c’est d’en être porteur sans le savoir alors que l’on peut guérir grâce à de nouveaux traitements. C’est le message de la campagne « savoirCguérir ». Une vaste opération d’incitation au dépistage de ce virus 10 fois plus transmissible que celui du VIH !
Qui peut être concerné par l’hépatite C ?
L’hépatite C se transmet par le sang, principalement dans certaines situations à risque auxquelles chacun peut être exposé un jour dans sa vie, surtout si vous avez des antécédents de transfusions avant 1992 et des hospitalisations avant 1997 (intervention chirurgicale, chirurgie dentaire, endoscopie, coloscopie, fibroscopie ou encore accouchements difficiles). Car avant 1992 le virus n'était pas connu donc intraçable.
Comment se passe le dépistage ?
Se faire dépister est très simple et pas douloureux. Il suffit de se rendre au CHU, d’en parler à votre médecin ou de contacter le Centre des experts hépatites. Un Test rapide d’orientation diagnostique (TROD) permet de savoir en 20 à 30 minutes si des anticorps de l’hépatite C sont présents dans le sang et cela par simple prélèvement d’une goutte sur le bout de votre doigt.
Quel traitement ?
Des progrès considérables ont été faits ces dernières années grâce aux traitements plus courts et mieux tolérés qui permettent à plus de 95% des patients atteints de guérir rapidement. A condition, bien entendu, de savoir que l’on est porteur de la maladie, ce qui n’est pas souvent le cas car elle est souvent ignorée car silencieuse le plus souvent. Aujourd’hui, prendre juste 1 à 3 comprimés par jour pendant 8 à 12 semaines permet d’éliminer définitivement le virus.
Qui peut être concerné par l’hépatite C ?
L’hépatite C se transmet par le sang, principalement dans certaines situations à risque auxquelles chacun peut être exposé un jour dans sa vie, surtout si vous avez des antécédents de transfusions avant 1992 et des hospitalisations avant 1997 (intervention chirurgicale, chirurgie dentaire, endoscopie, coloscopie, fibroscopie ou encore accouchements difficiles). Car avant 1992 le virus n'était pas connu donc intraçable.
Comment se passe le dépistage ?
Se faire dépister est très simple et pas douloureux. Il suffit de se rendre au CHU, d’en parler à votre médecin ou de contacter le Centre des experts hépatites. Un Test rapide d’orientation diagnostique (TROD) permet de savoir en 20 à 30 minutes si des anticorps de l’hépatite C sont présents dans le sang et cela par simple prélèvement d’une goutte sur le bout de votre doigt.
Quel traitement ?
Des progrès considérables ont été faits ces dernières années grâce aux traitements plus courts et mieux tolérés qui permettent à plus de 95% des patients atteints de guérir rapidement. A condition, bien entendu, de savoir que l’on est porteur de la maladie, ce qui n’est pas souvent le cas car elle est souvent ignorée car silencieuse le plus souvent. Aujourd’hui, prendre juste 1 à 3 comprimés par jour pendant 8 à 12 semaines permet d’éliminer définitivement le virus.
Reportage
•