A l’occasion de la Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’Etat Français et d’hommage aux « Justes » de France, des cérémonies du souvenir se sont déroulées dans plusieurs communes de l’île, ce dimanche 22 juillet.
Parmi les jours les plus sombres de l’Histoire de France, il y a les 16 et 17 juillet 1942. Deux jours durant lesquels plus de 8 000 personnes ont été emprisonnées à Paris, au Vélodrome d’hiver, avant d’être déportées à Auschwitz.
C’est la mémoire de ces victimes, mais aussi des « Justes » de France et de tous ceux qui se sont élevés contre les persécutions racistes et antisémites qui ont sévis durant la Seconde Guerre mondiale, que l’Etat Français commémore chaque année.
Ainsi, à Saint-Denis, une cérémonie du souvenir s’est déroulée ce dimanche matin dans les jardins de l’IAE, avenue de la Victoire, en présence de la sous-préfète chargée de mission auprès du préfet pour la cohésion sociale et la jeunesse, Isabelle Rebattu.
Ce fût aussi le cas à Saint-Benoit, devant le monument aux Morts, où un dépôt de gerbes était également organisé, en présence de la directrice du cabinet du préfet de La Réunion, Amélie Vauthier-Bardinet.
Le reportage de Marie-Ange Frassati.
C’est la mémoire de ces victimes, mais aussi des « Justes » de France et de tous ceux qui se sont élevés contre les persécutions racistes et antisémites qui ont sévis durant la Seconde Guerre mondiale, que l’Etat Français commémore chaque année.
Ainsi, à Saint-Denis, une cérémonie du souvenir s’est déroulée ce dimanche matin dans les jardins de l’IAE, avenue de la Victoire, en présence de la sous-préfète chargée de mission auprès du préfet pour la cohésion sociale et la jeunesse, Isabelle Rebattu.
Ce fût aussi le cas à Saint-Benoit, devant le monument aux Morts, où un dépôt de gerbes était également organisé, en présence de la directrice du cabinet du préfet de La Réunion, Amélie Vauthier-Bardinet.
Le reportage de Marie-Ange Frassati.
Reportage
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