L’intervention rapide des sapeurs-pompiers du GRIMP, épaulés par deux hélicoptères bombardier d’eau a permis de circonscrire rapidement l’incendie qui a éclaté, lundi matin au Maïdo.
L’annonce d’un départ de feux sur le Maïdo, lundi en fin de matinée, a provoqué un vif émoi dans la population. Tout le monde a encore en mémoire le terrible incendie qui avait ravagé les hauts de l’Ouest en 2011.
Depuis, les terribles événements de 2010 et 2011, le CODIS Réunion est nettement mieux armé pour intervenir. Un groupe de sapeurs-pompiers réunionnais a été formé par les militaires de la sécurité civile aux méthodes utilisées par les spécialistes de lutte contre les feux de forêts dans le Sud de la France ou en Corse.
L’expérience permet de circonscrire rapidement l’incendie
Dès la détection d’un possible foyer en lisière du sentier de la glacière, un peloton d’une trentaine d’hommes du GRIMP a été dépêché sur place. Le foyer étant situé en crête des remparts, qui surplombent Mafate, deux hélicoptères bombardiers d’eau ont été mobilisés pour venir en aide aux soldats du feu.
Un Poste de Commandement a été installé sur zone afin de réduire au minimum le temps entre les besoins et la prise de décision.
Ce dispositif et les expériences malheureuses du passé ont permis de limiter les dégâts à une cinquantaine de m².
Depuis, les terribles événements de 2010 et 2011, le CODIS Réunion est nettement mieux armé pour intervenir. Un groupe de sapeurs-pompiers réunionnais a été formé par les militaires de la sécurité civile aux méthodes utilisées par les spécialistes de lutte contre les feux de forêts dans le Sud de la France ou en Corse.
L’expérience permet de circonscrire rapidement l’incendie
Dès la détection d’un possible foyer en lisière du sentier de la glacière, un peloton d’une trentaine d’hommes du GRIMP a été dépêché sur place. Le foyer étant situé en crête des remparts, qui surplombent Mafate, deux hélicoptères bombardiers d’eau ont été mobilisés pour venir en aide aux soldats du feu.
Un Poste de Commandement a été installé sur zone afin de réduire au minimum le temps entre les besoins et la prise de décision.
Ce dispositif et les expériences malheureuses du passé ont permis de limiter les dégâts à une cinquantaine de m².