Katy Toave, du groupe Simangavole, vous livre ses Konfidans

Katy Toave du groupe Simangavole
Dans le quartier du Chaudron, Katy Toave fait du maloya une pratique féminine. Sigrid Chane-Kaye-Bone évoque avec elle sa relation avec cette musique traditionnelle de La Réunion.

Danser, chanter, se produire sur scène. Depuis plus de vingt ans, le groupe Simangavole fait du « maloya manièr fanm ».
Un nom  qui en dit long  -Simangavole était une esclave marron- il y a de l’identité culturelle dans l’ADN du groupe.
Au-delà de l’harmonie de leur voix, les artistes portent des valeurs fortes, et une énergie qui secoue leur public.

Katy Toave du groupe Simangavole

Le maloya lé enkor beaucoup masculin

Katy Toave

Konfidans

Au premier coup d’œil, Katy Toave a tout de la « jolie cafrine ». C’est contre ce genre de raccourci qu’elle se bat, avec le maloya au cœur : exprimant dans ses compositions la place de la femme dans la société, revendiquant ce qu’elle appelle sa « cafrineté ». Regardez

KONFIDANS KATY TOAVE SIMANGAVOLE

On les admire, on suit leur actualité. Ils ont marqué notre vie : chanteurs, compositeurs, humoristes, écrivains.
Vous avez envie d’en savoir plus sur eux ? Entrez dans leur Konfidans !
Chaque semaine, Sigrid Chane-Kaye-Bone rencontre des artistes sur les sites qui les inspirent. Retrouvez les autres émissions ici :
Gouslaye, fonnkèzèr