Lutter de manière concrète contre les stéréotypes de genre, les discriminations et violences à l'égard des femmes et des LGBT… De jeunes réunionnais ont mis en place le projet "Kozensemb" pour que la parole se libère.
Avec le concours de la Ligue des Droits de l’Homme, LDH, à la Réunion et le soutien de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT, DILCRAH, de jeunes réunionnais ont lancé le projet "Kozensemb", un terme composé des mots créoles "Koz" et "Met’ ensemb".
L’objectif du projet est de "faire entendre la voix des réunionnais et des réunionnaises, notamment des jeunes, qui souhaitent agir contre les stéréotypes et préjugés visant les femmes, les hommes et les LGTB, les discriminations et violences à l’égard des femmes et des personnes LGBT+ (Lesbienne, Gay, Bisexuel, Trans)" explique la LDH.
A 23 ans, Adrien Baret fait partie des porteurs de ce projet. Originaire de Saint-Louis, cet étudiant a été témoin de discriminations et de violences envers les femmes et a souhaité agir.
Ecoutez son interview, par Angélique Le Bouter :
Une voix qui peut être portée sur les réseaux sociaux. Le projet, lancé dès aujourd’hui, a déjà recueilli des témoignages anonymes sur sa plateforme.
"Faire entendre la voix des réunionnais"
L’objectif du projet est de "faire entendre la voix des réunionnais et des réunionnaises, notamment des jeunes, qui souhaitent agir contre les stéréotypes et préjugés visant les femmes, les hommes et les LGTB, les discriminations et violences à l’égard des femmes et des personnes LGBT+ (Lesbienne, Gay, Bisexuel, Trans)" explique la LDH.
A 23 ans, Adrien Baret fait partie des porteurs de ce projet. Originaire de Saint-Louis, cet étudiant a été témoin de discriminations et de violences envers les femmes et a souhaité agir.
Ecoutez son interview, par Angélique Le Bouter :
Interview d'Adrien Baret
S’exprimer anonymement sur les réseaux sociaux
Une voix qui peut être portée sur les réseaux sociaux. Le projet, lancé dès aujourd’hui, a déjà recueilli des témoignages anonymes sur sa plateforme.
Pour moi, les LGBT à La Réunion, on en parle pas assez alors que de plus en plus de jeunes se libèrent de ce poids et l’assument. Mais la société à La Réunion a toujours du mal à l’accepter notamment les anciennes générations.