Air Austral fait le choix d'un développement progressif. En 2009, l'ancien patron, Gérard Ethève avait fait venir l’Airbus A380, qui était censé faire Réunion-Paris avec 800 passagers à bord. “Folie des grandeurs” avait-on dit à l’époque.
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Air Austral a depuis annulé la commande des deux Airbus passée par l’ancien patron. L’appareil acheté aujourd’hui, avait été la riposte de Boeing quand Airbus avait sorti son géant. Face au gigantisme du constructeur européen, l’américain proposait un appareil, plus petit, plus économe et à très grand rayon d’action. C’est le choix que fait également aujourd’hui Air Austral, première compagnie française à s'équiper de ces appareils.
"Air Austral, fait-elle une bonne affaire avec ses deux Boeing 787 ? se demande le site spécialisé Air Info :
Les deux appareils "Dreamliners" sont les premiers sortis des usines Boeing de Seattle il y a cinq ans. C'était une commande d'une compagnie japonaise, annulée pour des raisons de surpoids. Le Seattle Times (le journal de la ville de Seattle où est installé Boeing) annonçait d'ailleurs, il y a quelques mois, que Boeing était très heureux de trouver des acheteurs pour ces Dreamliners en surpoids.
La compagnie explique que seuls le fuselage, la carlingue, effectivement plus lourds que les nouveaux modèles, avaient été ainsi stockés. Le reste de l’équipement est complètement neuf. Selon Air Austral, la question du poids n’est pas un problème pour son rayon d'action.
Dans le Seattle Times, on peut aussi lire : Ce sont dix Boeing 787-800 de la première génération qui ont été vendus (2 à Air Austral et 8 à une compagnie éthiopienne) pour une somme que le journal américain estime à 1 milliard de dollars, 100 millions par appareil, moins de la moitié du prix (entre 215 et 295 millions de dollars).
Le prix est confidentiel, mais bien en-dessous des 150 millions pour un appareil, nous confirme Air Austral.
"Air Austral, fait-elle une bonne affaire avec ses deux Boeing 787 ? se demande le site spécialisé Air Info :
Les deux appareils "Dreamliners" sont les premiers sortis des usines Boeing de Seattle il y a cinq ans. C'était une commande d'une compagnie japonaise, annulée pour des raisons de surpoids. Le Seattle Times (le journal de la ville de Seattle où est installé Boeing) annonçait d'ailleurs, il y a quelques mois, que Boeing était très heureux de trouver des acheteurs pour ces Dreamliners en surpoids.
La compagnie explique que seuls le fuselage, la carlingue, effectivement plus lourds que les nouveaux modèles, avaient été ainsi stockés. Le reste de l’équipement est complètement neuf. Selon Air Austral, la question du poids n’est pas un problème pour son rayon d'action.
Dans le Seattle Times, on peut aussi lire : Ce sont dix Boeing 787-800 de la première génération qui ont été vendus (2 à Air Austral et 8 à une compagnie éthiopienne) pour une somme que le journal américain estime à 1 milliard de dollars, 100 millions par appareil, moins de la moitié du prix (entre 215 et 295 millions de dollars).
Le prix est confidentiel, mais bien en-dessous des 150 millions pour un appareil, nous confirme Air Austral.
du 25 mai 2016
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