Le stress de Parcoursup pour les élèves de terminale commence

Pour ne pas se tromper dans ses vœux, certains élèves se font accompagner par un conseiller d'orientation.
Depuis le 15 janvier dernier et jusqu’au jeudi 13 mars, les élèves de terminales et autres étudiants doivent s’inscrire sur le site de Parcoursup et formuler leurs choix. Une décision pas facile à prendre pour certains. Agathe a choisi de se faire aider par une conseillère d’orientation.

Agathe, 17 ans, est indécise quant à son avenir. Elle se verrait bien vétérinaire, mais hésite encore sur le choix des écoles. Elle veut se donner des portes de sorties au cas où la filière supérieure ne lui convient pas. Pour l’aider, la rassurer dans ses choix, elle est allée voir une conseillère d’orientation dans le privé. 

Agathe, élève de terminale, se fait aider dans ses vœux par une conseillère d'orientation.

 

Plusieurs questions sont à se poser 

 

Pour aider à choisir son orientation dans les études supérieures, il est nécessaire que l’élève fasse le point. Pour cela, Sahra Djama, conseillère d’orientation pose plusieurs questions. Est-il autonome ? A-t-il besoin d’un cadre de travail ou familial ? A-t-il une bonne méthodologie de travail ? Est-il plus manuel que cérébral ? Se voit-il faire des études courtes ou longues ?  

 

De bons résultats et une lettre de motivation soignée pour être sûr d’être choisi 

 

Parcoursup analyse le dossier scolaire, à savoir les notes depuis la classe de 1ère. L’appréciation des professeurs est également prise en compte à travers la fiche avenir. Enfin, la fameuse lettre de motivation, le projet de formation motivé, qui terrorise bon nombre de candidats qui refuse la facilité et la banalité de l’utilisation de l’intelligence artificielle. C'est elle qui va départager deux candidats en 1500 caractères, donc de manière très synthétique. Pour cela il faut que le texte soit à la fois concis et percutant pour attirer l’attention des formateurs. 

 

Regardez le reportage de Réunion la 1ère :

Des élèves de terminale galèrent sur Parcoursup